lundi 30 avril 2007

 

La régression

Beaucoup de Québécois consacreront cette dernière fin de semaine d'avril à remplir leur déclaration de revenus… et les coffres de l'État. Il faut dire que nous sommes particulièrement généreux dans la Belle Province.

En 2005, une famille québécoise a payé en moyenne 5 732 $ en impôts et taxes de plus qu'une famille ontarienne. De plus, non seulement près de 50% de notre temps de travail sert à assouvir l'appétit fiscal de nos gouvernements, mais nous détenons également le triste record des contribuables les plus taxés en Amérique du Nord!

De plus, le fardeau fiscal ne se limite pas aux sommes que nous payons. Il faut y ajouter les millions d'heures que les individus et les entreprises doivent sacrifier pour se conformer au régime fiscal. Or, chaque heure passée à remplir des formulaires et à essayer de comprendre des lois fiscales toujours plus hermétiques, est une heure pendant laquelle nous ne produisons rien ni ne créons de la richesse.

Nous vous présentons, pas un mais deux avis sur le texte de cette dernière, qui ne reprend que les vieux arguments réactionnaires de l'époque de Duplessis.

Bon, par quoi commencer? Nathalie Elgrably, as-tu déjà cogné du marteau 8 heures de temps? As-tu déjà forcé après un câlisse de boulon qui ne voulait pas se visser 8 heures de temps? Laves-tu de la vaisselle 8 heures de temps? Passes-tu une crisse de mope 8 heures de temps? Regardes, pour qui te prends-tu pour parler de productivité quand tu pousses un osti de crayon qui pèse moins d'une livre? Tu t'es en tout cas certainement pas pogné avec ton patron de ce qu'ils appellent un journal, pour parler de ce que tu parles, tu n'as pas non plus l'emploi relié à la productivité à ce qu'on peut voir, donc tu ne sais absolument pas de quoi tu parles! Peut-être rêves-tu de venir nous rejoindre à l'usine? Changes ton stylo pour une faucille ou un marteau, viens suer avec nous les ouvriers qui fabriquons tout ce que tu consommes et ne pouvons nous par contre pas consommer.

Tu nous compares à l'ouest du Canada citant rien de moins que la production, pourquoi pas le Mexique, le Ghana et le Bangladesh? Tu parles de prospérité américaine, même après les attentats du 11 septembre? Oui, en effet, les amaricains font du "cash", mais à quel prix, je vais te le dire! Le sang des autres, comme dans le reste de l'histoire des États-Unis. Ils vont en Irak piller les ressources et imposer un pouvoir qui leur sera gré, en leur vendant à rabais du pétrole et d'autres ressources dont le peuple irakien ne tirera aucun bénéfice réel. Ils ont fait de même avec l'Amérique du sud et centrale, ainsi que la fabrication d'armes est la principale source de "cash" en ce moment dans le pays de l'égoïsme. Mais encore faudrait t-il que tu dises la vérité sale menteuse! Une minorité, celle-ci parasitaire nommée bourgeoisie, en tire réellement des profits! L'extrême pauvreté s'est accrue de 26% aux États-Unis depuis l'an 2000. Il y a 1% de gens très riches aux États-Unis, une classe moyenne disparaissant et un gigantesque marre de pauvres! Ils sont dociles, car les normes du travail et les syndicats y sont sévèrement absentes ou inefficace contre la bourgeoisie, étant soutenue comme Mario Dumont le ferait, par le président et toute cette oligarchie qui pue le caviar! C'est quand même drôle que les bourges nous parlant de productivité soient toujours les déconnectés aspirant à la bourgeoisie et les bourgeois ou par extrême rareté, de l'aliénation pure et simple! Bouchard parlait exactement comme ça il ya peu, il s'est mordu la lèvre! Toi qui pousse si bravement ton crayon, tu devrais faire attention de ne pas te péter les doigts!

Comme tu aimes pointer ailleurs pour parler de l'économie des pays à la botte de Washington, je me permettrai de pointer quelques pays moi aussi. À Cuba, malgré un embargo illégal et totalement non-justifiable, l'école et la santé sont choses gratuites, même qu'on peut se permettre d'envoyer plus de 15 000 médecins à l'étranger sans même parler de problème de "cash" ce dernier justifiant l'existence même de la parasitaire et minoritaire bourgeoisie. Même en envoyant ces 15 000 médecins, Cuba ne parle pas de clinique privée! Le Venezuela a aussi fait un grand virage sans la bourgeoisie, ce parasite qui affame les peuples pour asseoir son cul flasque sur des trônes qu'ils passent ensuite à sa progéniture, celle-ci le mérite sans doute selon toi. Là-bas, les seuls droits qui sont brimés sont ceux qui se rapportent à l'exploitation de son prochain. Le Canada accueille d'ailleurs bon nombre de ces bourgeois qui perdent leur pouvoir, mais les retrouvent ici, en se partant par exemple des chaînes de Belle-Province!

Terminons le travail avec le clou de finition: Soit t'es folle ou déconnectée, soit tu t'en câlisse pas mal! As-tu lu les nouvelles dernièrement? La planète va mal à cause de la surconsommation, celle-ci prônée par la sur-médiatisation, entraînant une surproduction ainsi qu'une sur pollution qui de toute évidence, mettra un terme à l'humanité! Je sais pas où tu vas chercher que produire plus, donc passer moins de temps avec la famille et les amis etc... Peut réellement être bénéfique pour un ouvrier qui de plus, polluera et compromettra l'avenir de ses propres enfants, tout ça dans le seul et unique but d'enrichir un gros cul sale paresseux de bourgeois? On est déjà obligés de faire semblant d'être malade criss pour passer UNE seule foutue journée de plus sur 7 avec nos proches, pis tu voudrais qu'on se tappe des 12 heures aux seules fins de remplir des poches comme les tiennes, celles de Bouchard le grand ouvrier, pourquoi pas faire entrer l'autonomiste démagogue tant qu'à y être? Tu agis exactement comme Harper, cette cochonnerie qui nous sert de chef, tu joues à l'autruche tout en sachant que les problèmes de climat sont bel et bien réels et non pas un complot socialiste! Ça fait plus de 20 ans que les écologistes nous disent d'arrêter de couper des arbres et on persiste, en Amazonie ils nous copient, et tu dis que ce n’est pas assez? Au Brésil, il ne reste que 23% de la forêt vierge, je ne sais pas si t'es assez futée pauvre cloche pour comprendre que c'était les poumons de la Terre! Tu n’a pas l'air très futé pour ce genre de chose, petit outil minable de la bourgeoisie sans subtilité.

Sylvain

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L’imposé et l’imposeur

Lorsque nous lisons le texte de cette soi-disant spécialiste des marchés financiers et de l’économie mondiale, on se demande bien pourquoi c’est publié dans un journal*à aussi grand tirage (mais sans la qualité évidemment) tellement on ne retire rien de pertinent de cet article. Oui, nous le savons que le Québec est très taxé, oui, nous le savons que les Québécois gagnent moins qu’une famille Albertaine… Cessez de nous sortir ces mêmes maudits exemples, après 30 fois, je crois qu’on a compris…

Mais tout premièrement, elle semble vouloir comparer une pomme à une orange; l’économie au Québec étant essentiellement industrielle et basé sur les services, tandis que elle de l’Alberta est basée sur la production pétrolière. Il est évident qu’avec ces 2 activités économiques dominantes aussi différentes dans ces deux provinces, il ne peut que y avoir des écarts financiers plutôt important, surtout quand on sait que les industries quittent très rapidement le Québec pour aller s’installer en Chine et en Inde, pays ou le prolétariat est à très bon prix, mais aussi là ou il y a aucun règlement syndicale (syndicats de cartons en Chine, interdiction totale en Russie) ou en matière d’environnement. Elle prend encore le vieil argument de la productivité, encore une fois ! Depuis au moins 10 ans, la grande bourgeoisie dit des petits travailleurs québécois qu’ils ne produisent pas assez, voici un exemple :

Joseph travaille dans une usine de souliers en banlieue de Montréal, mais un jour, pour « maximiser les valeurs des actionnaires », l’usine ferme et est relocalisée dans la région du Hunan, en Chine. Alors que Joseph produisait à lui seul environ 200 paires de souliers par jour, on lui disait qu’il était une valeur sûr pour l’avenir du Québec et du Canada mais le jour de la mise à pied, moment ou sa production a baissé a ZÉRO souliers par jour, les boss et le gouvernement dit de lui qu’il n’est pas assez productif.

Ceci est pour dire que c’est justement le système médiocre d’Elgrably qui fait qu’il y a une baisse de la production, donc ce n’est sûrement pas la faute des « syndicaleux », des taxes imposées au entreprises (qu’elles ne paient même pas en partant) ou même carrément du modèle québécois, qui supposément encourage les travailleurs à se pogner le beigne selon la bourgeoisie dont fait parti Lucien Bouchard. C’est comme au siècle dernier; le travailleur qui se blesse à l’usine est responsable des pertes financières (bris de la machine) et doit les assurer, en plus de n’être aucunement dédommagé.

Réduire le fardeau fiscal du particulier ? Intéressant en partant, quand on s’intéresse que très brièvement à la question mais en y pensant bien, nous allons qu’handicaper le domaine public, qui lui est accessible a tous et couper dans les services et les subventions et ainsi donner plus de pouvoirs au privé et aux plus riches. Et ces mêmes baisses d’impôts, ça serait quoi pour un contribuable moyen comme moi (environ 30 000$ par année), environ 12$ par semaine et déjà-là… Ça ne se remarquerait que sur le salaire d’une personne qui gagne plus de 200 000$ par année…

On peut finalement voir que L’Institut Économique de Montréal est à l’économie ce qu’un sorcier est à la médecine : un charlatan !

*C’est bien le Journal de Montréal qui à publié un article de Mme. Elgrably qui disait que les usines n’avaient rien à voir avec le réchauffement climatique quand que deux semaines plus tard, à l’occasion du Jour de la Terre, la première de couverture du JDM était exclusivement consacré au titre : « journée d’action pour sauver la planète ». Que nous, on sauve la planète et que les bourges et leur business ne foutent rien ? Journal médiocre en conclusion, ça en dit long sur la droite qui le publie.

Camarade Anthony

À lire en parralèle avec l'article de cette menteuse:

==> L’économie américaine : une récession en perspective
==> À la caisse!, de Nathalie Elgrably

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Commentaires:
Elle dit tellement n'importe quoi, en plus d'être complètement déconnecté de la réalité, elle vit déjà sur l'exoplanète où les ressources semblent être abondantes! Bon, elle a cité l'impérialisme américain commeun succès, je vais me permettre de péter sa p'tite bulle!

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L’économie américaine : une récession en perspective


La Riposte a souvent attiré l’attention de ses lecteurs sur l’évolution de l’économie américaine, dont l’importance en fait un facteur majeur dans les perspectives économiques pour l’Europe et la France. Dans un texte publié en 2006, nous écrivions : « Le PIB des Etats-Unis, qui représente 39 % de la production mondiale, a crû de 3 % en 2003, puis de 4,4 % en 2004. Son taux de croissance se situera aux alentours de 3,4 % en 2005. Cependant, cette croissance repose essentiellement sur la spéculation immobilière et la consommation des ménages – qui reposent, à leur tour, sur une expansion massive du crédit. Le recours au crédit, aux Etats-Unis, a atteint des proportions absolument colossales. En mars 2005, la dette totale de l’administration, des entreprises, du secteur financier et des ménages américains s’élevait à 40 000 milliards de dollars ! Cette somme représente 137 000 dollars pour chaque homme, femme et enfant américains. L’endettement des ménages s’élève à 10 300 milliards de dollars, soit en moyenne 103 % des revenus annuels des ménages. La seule dette fédérale – toujours en mars 2005 – était de 7 600 milliards de dollars. Le taux d’endettement ne cesse de croître, et ce à un rythme bien supérieur à la croissance de l’économie. Globalement, pour chaque dollar emprunté, la richesse créée n’est que de 23 cents.

« Pour le moment, l’endettement des ménages américains poursuit sa spirale haussière en raison de l’envolée spectaculaire du marché de l’immobilier. Le prix du mètre carré a augmenté de 73 % depuis 1997. Lorsque cette « bulle spéculative » éclatera, la chute de la valeur des biens immobiliers plongera des millions de familles américaines dans le surendettement, déclenchant une contraction brutale de la demande intérieure. Le chômage augmentera brusquement. A l’heure actuelle, 85 % des nouvelles embauches reposent sur le secteur immobilier ou sur la hausse de la consommation des ménages.

« Au moyen d’un endettement colossal, le capitalisme américain est allé au-delà de ses capacités économiques réelles. […] S’il n’est pas possible de prévoir le moment exact où l’économie américaine entrera dans une phase de contraction, il est certain que celle-ci interviendra inévitablement, à un certain stade. »

Depuis la publication de ces lignes, les contradictions dans l’économie américaine n’ont eu de cesse de s’accumuler. L’endettement de l’Etat s’est encore aggravé. Il a dépassé la barre des 8800 milliards de dollars. Le financement de la guerre en Irak – que les Etats-Unis sont en train de perdre – coûte 9 milliards de dollars par mois. Les dépenses militaires (600 milliards par an) servent de justification à l’amputation des budgets de la santé, de l’éducation et des dépenses sociales en général. Le nombre de citoyens américains qui sombrent dans la misère – même selon les statistiques officielles de l’administration Bush – augmente de plus d’un million de personnes par an. On en compte désormais 37 millions. Aux Etats-Unis, comme en Europe, la croissance du PIB ne profite pas à la masse de la population. Au contraire, cette croissance se réalise sur la base d’une dégradation des conditions de travail et de suppressions d’emplois massives, notamment dans le secteur industriel.

Déficit commercial massif

Le déficit commercial des Etats-Unis s’aggrave. En 2006, il a atteint 857 milliards de dollars. Rien que pour financer ce déficit, les Etats-Unis doivent lever des emprunts à hauteur de 2 milliards de dollars par jour ! Le principal facteur qui alimentait la demande intérieure était le marché de l’immobilier. Les Américains contractaient des emprunts gagés sur la hausse de la valeur de leur logement.

Mais aujourd’hui, comme nous l’avions prévu dans l’extrait ci-dessus, la « bulle spéculative » est sur le point d’éclater. Le marché se retourne. Les logements neufs se vendent mal. La construction dégringole. Le nombre de permis de construire a chuté de 20 % en un an. Les hausses successives des taux d’intérêt, destinées à freiner l’endettement, augmentent les mensualités des foyers endettés. Les défauts de paiement chez les emprunteurs se multiplient. En 2006, une vingtaine d’organismes spécialisés dans les prêts à risque, destinés aux acquéreurs disposant de peu d’apport ou présentant un profil de crédit fragile, ont suspendu l’octroi de prêts ou ont déposé leur bilan.

La hausse des taux d’intérêt, conjuguée à la baisse du marché de l’immobilier, est en train de miner la demande intérieure, alors que la position des Etats-Unis sur les marchés extérieurs est déjà gravement menacée par la concurrence de la Chine et de l’Inde, entre autres. Les ventes de biens manufacturés ont chuté de 7,8 % en janvier 2007, par rapport à janvier 2006. Si on enlève les ventes d’avions, qui pèsent lourdement dans la baisse, la chute des ventes des autres biens manufacturés – électroménager, ordinateurs, etc. – était encore très sensible (-3,1 %). La concurrence sur le marché intérieur est tout aussi rude. L’industrie du textile américaine a quasiement été détruite par la concurrence des importations à bas prix.

Il faut se méfier des bulletins, publiés par l’administration américaine, qui se félicitent des « créations d’emplois ». Car ce que ces bulletins ne précisent pas, c’est la qualité des emplois en question. Chaque mois, des dizaines de milliers d’emplois industriels sont supprimés. La situation est la même dans le commerce et les services. Souvent, il s’agit de délocalisations dans des pays où le salaire est inférieur à un dollar de l’heure. Les salariés américains jetés sur le pavé au nom de cette course aux profits doivent alors se débrouiller comme ils le peuvent, et accepter n’importe quel travail précaire pour éviter le pire.

Répercussions en Europe

L’ancien président de la Réserve Fédérale, Alan Greenspan, a évoqué la possibilité d’une récession économique « dès les derniers mois de 2007 ». Il est tout aussi possible que la récession américaine intervienne plus tard. Mais une chose est certaine : elle aura lieu dans un avenir relativement proche. Et le retournement à venir aura des répercussions colossales à l’échelle internationale, y compris en France, où le parasitisme des capitalistes a mené à une quasi-stagnation économique et à une baisse du niveau de vie de la masse de la population, même pendant la période d’expansion du commerce international.

En France, la contraction du volume des échanges internationaux entraînera une baisse absolue de la production, et les capitalistes, soucieux de défendre leurs profits, lanceront alors une offensive majeure contre les droits et les conditions de vie des travailleurs. Les luttes qui nous attendent ne laisseront pas de place à ces panacées futiles – une « taxe punitive » par-ci, un « bonus » aux patrons qui « jouent le jeu » par-là – qui forment les programmes actuels du PS et du PCF.

Nous devons nous préparer à une époque nouvelle, où les travailleurs feront face à une alternative sans équivoque : soit nous nous débarrasserons du capitalisme en prenant le contrôle des banques, des moyens de production et de distribution – soit nous nous condamnerons nous-mêmes, ainsi que les générations futures, à courber le dos sous le poids d’un système qui ne tolère plus que la régression sociale permanente.

Greg Oxley (PCF, Paris)

Publication : dimanche 29 avril 2007

http://www.lariposte.com/L-economie-americaine-une-recession-en-perspective-833.html
 
Si cette menteuse voyait des somaliens habillés de 2 couleurs différentes, elle pourrait affirmer que le pays va mieux et que l'économie a doublé d'importance. Faut vraiment faire attention à ce qu,on lit dans les journaux, de plus, la majorité des journaux au Québec reflète ce genre de réflection.
 
C'est quoi le rapport de cette réaction douteuse de Sylvain avec le fait que nous remplissons beaucoup trop de formulaires??

Les insultes en tant qu'argument, ça ne vaut rien.

Anthony a pas mal plus d'allure.
 
Merci Nelson, mais Sylvain présente cela à sa manière, et c'est correct aussi. Même si tu peux aimer moins son style, c'est justement le but du reactionism watch, permettre aux gauchistes et aux droitistes (?) de s'exprimer. Perso, j'ai quand même trouvé son texte intéressant, mais il est vrai qu'il aurait pu éviter quelques insultes.
 
Nelson, tu t'arrêtes aux lignes qui te plaisent ou quoi? elle parle de production et non pas de paperasse à remplir, le but, c'est la productivité! Soit, tu sais pas lire entre les lignes de la madame, soit tu attires l'attention ailleurs que sur la réalité de son discours à la Taillon.
 
Il n'est pas question que je retire des insultes à cette conne qui parle de mon travail. Je suis dans la production, elle n'y est pas. Ce qu'elle propose, c'est augmenter mon travail dans le but de faire profiter la bourgeoisie de ma sueur et de mes maux de dos. Peut-être as-tu eu de la misère à voir les liens dans son texte, mais c'était ça le but, un peu comme Bouchard avait fait rapportant que les québécois ne travaillaient pas autant que les mexicains et les américains.

On tente depuis longtemps du côté de la bourgeoisie d'augmenter notre apport à leur porte-feuille, sans succès parfois et d'autres fois...

Encore là comme pour Martineau, on a soit-disant à faire à une spécialiste, mais elle ne l'est pas, elle ne tient pas compte de grand chose d'autre que le porte-feuille de la bourgeoisie. C'est ça sa spécialité, transformer la réalité afin d'accomoder raisonnablement la bourgeoisie, qui vit sur notre labeur.
 
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