samedi 26 mai 2007

 

Nathalie Elgrably et les baisses d'impôts

Voici la pensée magique de notre chère Nathalie Elgrably, une économiste si réputée !
L'histoire se répète

Aujourd'hui, l'histoire se répète. Évidemment, la contrebande préoccupe le trésor public car elle entraîne une baisse des recettes fiscales.

Mais elle confirme un concept vieux de deux siècles et que l'économiste américain Arthur Laffer a rendu populaire dans les années 1970, à savoir que trop d'impôt tue l'impôt. Ainsi, quand les taxes deviennent excessives, l'État récolte moins de recettes, car les gens effectuent leurs transactions à l'abri du regard du fisc. Le cas des cigarettes est éloquent et la leçon à en tirer est claire.

Toutefois, ce phénomène ne se limite pas aux produits du tabac. Il s'étend également à l'impôt sur le revenu. Revenu Québec évalue d'ailleurs à près de 3 milliards les revenus perdus en raison du travail au noir, une pratique que les travailleurs choisissent généralement pour éviter de partager le fruit de leur labeur avec le fisc lorsque ce dernier devient trop gourmand.

Aujourd'hui, journée du dépôt du budget, plusieurs voix s'élèvent pour que Madame Jérôme-Forget ne réduise pas les impôts. Or, nous sommes les contribuables les plus taxés en Amérique du Nord et nous vivons dans l'une des régions les plus pauvres du continent.

De toute évidence, notre approche est déficiente et il est temps de penser autrement. Tout comme la réduction des taxes sur le tabac a permis l'augmentation des recettes fiscales, la réduction des impôts permettra de stimuler l'activité économique, de réduire l'évasion fiscale et de regarnir les coffres de l'État.

Les baisses d'impôts entreprises par le gouvernement américain en 2001 et 2003 ont eu pour effet d'augmenter considérablement les recettes fiscales et de réduire de moitié le déficit. Pourquoi ne pas tenter la même expérience? Nous n'avons rien à perdre!
Whoa.

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Comment énerver un agent réactionnaire de l'État

Comme ceci.


Marchez devant la voiture de patrouille, tout en n'ayant pas conscience qu'elle vous suit, et regardez devant vous. Les accessoires comme le drapeau et le foulard peuvent être rajoutés, mais ce ne sont là que des "bonus" facultatifs. Si vous suivez clairement ces indications, vous allez les énerver !

Bonne chance !

Photos : Camarade Tova

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vendredi 25 mai 2007

 

Un réactionnaire propose l'abolition du système de santé dit "gratuit"

Claude Castonguay, un ancien ministre sous Robert Bourassa, a affirmé croire qu'il serait temps de mettre un terme à la gratuité des soins de santé au Québec. Selon lui, ce secteur représente un gouffre financier et doit être éliminé le plus rapidement possible : en échange, la privatisation devrait être la solution pour remédier à ce problème.
M. Castonguay proposera donc au gouvernement une véritable révolution. Il pense que le monopole de l'État sur la gestion du système de santé doit prendre fin et que les médecins devraient être autorisés à avoir une pratique privée parallèle. Les usagers, eux, devraient avoir le droit de souscrire une assurance privée.
Donc, ce que nos anciens ont donné de leur sang, sueur et temps, on va l'enlever pour ce qui était avant leurs combats : le privé ! Comme c'est plus facile ainsi : on étouffe le public pour donner un maximum d'argument au privé d'avancer et de reprendre contrôle sur les secteurs qu'il occupait autrefois, et qui était très fortement contesté par la population. Désormais, le mot "privé" est vu comme libérateur ; le mot "public" est vu comme danger. La propagande haineuse et de peur antigauchiste a eu ses effets.

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Vous êtes avec ou contre le peuple Québécois !

C'est la traduction qui peut être décodé dans le discours à la sauce adéquiste de Jean Charest, où il faisait référence à la vive réaction négative des deux partis d'oppositions face au budget proposé par le parti.
«Il faudra peut-être retourner aux urnes. C'est ça qu'ils sont en train de dire aux Québécois ?», s'est-il demandé, en refusant cependant de présumer du résultat du vote sur le budget.
Hé, Charest. Tu as entrainé, toi et ton parti, à cette instabilité politique. Tu es celui qui a encouragé cette montée à vouloir du "changement", peu importe de l'avant ou de l'arrière. Tu es le responsable avec la complicité de tes proches de toute cette ambiance politique plutôt "chaude" comparé aux anciennes années plates où le laisser-faire était bien présent. Ces temps-ci, les QuébécoisES en ont leur claque et veulent un nouveau virage : ils ont choisi, malheureusement, pour la plupart, l'ADQ.

Certes, Charest dit que les deux partis d'oppositions doivent accepter le budget ou sinon cela est une preuve qu'ils sont contre le peuple Québécois parce qu'ils veulent déclencher les élections. C'est un peu comme George W. Bush où il disait que soit nous étions avec lui, soit avec les terroristes. On appele ça de la démagogie, et Charest est très fort là-dedans ; Dumont lui, est plus populiste, c'est ce qui lui donne ce certain "charme" que plusieurs tentent d'expliquer.

Reste que le discours de Charest a vraiment changé depuis ! Nous pourrions dire qu'il est désormais devenu Jean-Dumont Charest Mario ! En effet, il a inséré dans son discours, et prononce avec rigueur les termes "classe moyenne" :
En verve et combatif, M. Charest dit que les leaders des partis d'opposition luttent actuellement activement «contre la classe moyenne», en rejetant ses baisses d'impôts de 950 millions $, annoncées dans le budget.
T'es ridicule Charest. Tu t'enfonces.

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jeudi 24 mai 2007

 

À peine le budget présenté, les réactions sont vives

Un nouveau budget a été proposé et préparé de toute pièce par le Parti Libéral du Québec ! Charest a enfin mis en place sa promesse électorale de 2003 : réduire les impôts d'un millard de dollars. Tout un exploit, Mme. la ministre des Finances avec des accessoires d'or autour du cou et des doigts, a réussi à nous pondre un budget qui tient la route ! En effet, ce budget ne contient aucun déficit !

Voici en bref les différents points du budget 2007-2008
- les contribuables auront droit à des baisses d'impôts totalisant 950 millions $;

- Québec investira 30 milliards $ au cours des cinq prochaines années pour rénover les infrastructures, dont les écoles et les hôpitaux;

- le gouvernement reconnaît la nécessité de revoir ses méthodes comptables pour présenter un portrait plus juste des finances publiques;

- un effort additionnel de 200 millions $ sera consenti pour ralentir l'augmentation de la dette;

- pour soulager les entreprises et stimuler l'investissement, Québec s'engage à éliminer la taxe sur le capital d'ici 2010;

- sur la question du financement à long terme du système de santé, le gouvernement fait volte-face et crée un groupe de travail chargé de lui faire des recommandations dès l'automne pour régler le problème.
Wow, incroyable ! Fantastique ! Exceptionnel !

Évidemment qu'on s'en moque.

Alors. Ce nouveau budget vise particulièrement la baisse d'impôts qui fera le très grand plaisir des hommes d'affaires du Québec. En effet, même le président du Conseil du Patronat (CP) est ravi, voire enthousiaste à l'idée de réduire ses paiements à l'État ! Quel plaisir de payer moins de taxes sur le Capital, passant ainsi de 0,49% à 0,12% en 2010 si la tendance se maintient.

Pour la dette, que se passe-t-il ? Qu'un simple 200$ de millions en bonus. Le reste, ce sera aux générations futures qui devront payer : après tout, c'est plus facile « de faire un party et de refiler la facture aux générations futures » comme l'a affirmé Gilles Taillon de l'ADQ. Déjà que la jeunesse n'a même pas son mot à dire, ces bandits dans le parlement se permettent de parler leur nom. Certes, ce n'est pas là le problème : la dette de l'État a augmenté de 4,1 millards $ en 2006 - 07, et sera de 2,8 millards $ en 2007 - 08.

Aussi, par manque de rationnalité, Charest se montre très confiant, sûr de lui, en laissant son porte-parole expliquer que cette querelle « n'est pas une surprise. Ils ont encore bien du temps pour changer d'idée. » Donc, en gros, se soumettre à ce budget ridicule est envisageable et ce n'est qu'une question de temps selon le PLQ !

C'est un vrai spectacle pour nous !

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Parallèlement à ce budget récemment dévoilé, un autre évènement est survenu ce jeudi le 24 mai : les députés adéquistes ont vidé la Chambre pour protester contre le blâme mou des péquistes envers le budget qui venait tout juste de faire surface. Cela nous rappel des airs d'années 20~30 où le Parti Nazi d'Allemagne quittait sans gêne le Reichstag lors des discours, votes et motions.

Mais bon, c'est chose qui ne faut pas comparer...

==> Les points saillants du budget
==> Le budget en format PDF
==> L'Élite économique s'excite
==> L'opposition mets au defi le gouvernement
==> La dette monte en flèche
==> Les députés de l'ADQ vident la Chambre
==> Charest et le PLQ bien confiant

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Le sacre de Pauline première

La tragi-comédie qui s'est déroulée au cours des deux dernières semaines au sein du Parti québécois a fait ressortir tout ce qu'il y a de plus pourri dans la politique bourgeoise. Magouilles de toutes sortes -- et pas toujours honnêtes! -- dans le dos du chef, dans le but d'obtenir sa reddition; manœuvres de bas étage de la part de celui qui souhaitait devenir calife à la place du calife afin d'imposer son propre "couronnement"; ralliement insensé de tout ce beau monde à celle qui apparaît à première vue comme la plus susceptible de sauver un parti moribond; couronnement de cette dernière sans débat ni discussion: bref, le PQ nous a donné un exemple édifiant de ce que la politique-spectacle bourgeoise peut avoir de plus lamentable.

Selon toute vraisemblance, Pauline Marois se verra offrir la direction du PQ sur un plateau d'argent; chose certaine, l'exécutif du parti, dirigé par la "syndicaliste et progressiste" Monique Richard, y travaille de pied ferme et fera tout en son pouvoir pour décourager quelque adversaire potentielLE à celle qui deviendra la première reine du PQ.

Celle que les membres du parti ont massivement rejetée il y a à peine 18 mois arrive donc comme une nouvelle messie et impose ses conditions: sous sa gouverne, le PQ devra se soumettre et "s'adapter aux nouvelles réalités". Au diable l'article premier de son programme qui prévoit la tenue d'un référendum sur la souveraineté le plus rapidement possible dès l'élection d'un gouvernement péquiste! Fini le discours "social-démocrate" traditionnel qui se prétend attaché à "l'État-providence"! Contre toute attente, tout le monde se rallie derrière "Pauline" et achète cette nouvelle orientation, sans aucune dissidence!

Y compris les ténors de la "gauche indépendantiste", qui traquaient André Boisclair systématiquement et à qui ils n'ont jamais permis de s'éloigner d'un iota du programme du parti. Le chef du Bloc québécois et ex-marxiste-léniniste Gilles Duceppe, qui s'est vu administrer un cours accéléré de "Politique 101" au cours du dernier week-end; son leader parlementaire Pierre Paquette, ex-syndicaliste et trotskiste jamais repenti; les dirigeants du "club politique SPQ-libre", Marc Laviolette et Pierre Dubuc, qui font de plus en plus figure de "Laurel et Hardy" de la gauche nationaliste: tout ce beau monde a soudainement découvert des vertus à la stratégie des "conditions gagnantes" de Lucien Bouchard (reprise en d'autres mots par Marois) et à la "modernisation de la social-démocratie" manière Tony Blair, que la nouvelle cheffe a annoncée en grande pompe.

À « écouter » avec l’accent approprié : « C’est nécessaire pour toi, Gilles, de rester à Ottawa : mon gouvernement a encore besoin de ton appui! »

De toute évidence, Pauline Marois a choisi de jouer dans les plates-bandes de l'Action démocratique de Mario Dumont. Elle flirte déjà avec le discours "autonomiste" (un éventuel gouvernement péquiste tenterait "d'arracher de nouveaux pouvoirs" au gouvernement fédéral); elle se présente comme une championne de la "classe moyenne" et du "parler vrai"; elle reprend la thèse numéro un défendue par les organisations patronales, à l'effet qu'il faut "d'abord créer la richesse avant de penser à la redistribuer" (elle qui se disait pourtant "plus proche des solidaires que des lucides" lors de la dernière course au leadership du PQ à l'automne 2005); elle se prononce pour le dégel des frais de scolarité universitaires, alors que son parti sort à peine d'une campagne électorale dans laquelle il s'est engagé formellement à s'y opposer! En quelques minutes à peine, Pauline Marois aura réussi, dans les faits, à modifier sensiblement le programme du PQ et à faire avaler cette couleuvre à tout son entourage -- c'est un de ces revirements dont seule la politique bourgeoise a le secret...

"L'effet Marois" (dont on verra bien le temps que ça durera) semble même avoir porté au-delà des rangs du PQ. Ainsi, la direction bicéphale du parti Québec solidaire n'a pas osé dénoncer celle qui fut pourtant au cœur de l'élaboration et l'application des politiques de l'État bourgeois québécois au cours des 25 dernières années (coupures dans l'aide sociale, développement des politiques de "cheap labor" et de travaux forcés pour les pauvres, démantèlement du système de santé suite à l'application de la fameuse politique du "déficit zéro" par le gouvernement Bouchard dont elle a fait partie, etc. -- la liste est longue des mesures anti-populaires dont Pauline Marois est responsable): sans doute Québec solidaire craint-il l'effritement de sa propre base électorale, déjà ténue, à la faveur de la "paulino-manie"? Même le Parti communiste du Québec (celui dirigé par André Parizeau) semble avoir été pris de court, lui qui n'a rien trouvé de mieux que d'afficher, en manchette sur son site Web, un "dossier de presse" accompagné de la biographie de la nouvelle cheffe péquiste!

La politique bourgeoise étant ce qu'elle est (i.e. axée sur l'image et la "saveur" du moment), à première vue, la nomination de Pauline Marois semble donc une bonne affaire pour le PQ. À plus long terme toutefois, elle ne vient régler aucun des problèmes que l'effondrement électoral récent de ce parti a mis en lumière.

Contrairement à ce que certains ont voulu croire, la dégringolade du PQ ne tient pas tant au fait d'avoir choisi André Boisclair comme chef en novembre 2005, qu'à l'élection du gouvernement Harper deux mois plus tard à Ottawa. Celle-ci a changé la donne politique au Canada; elle contraint le PQ et le mouvement souverainiste à revoir leur orientation de fond en comble. À quoi le projet indépendantiste correspond-il dans la configuration actuelle des classes au Canada? En d'autres termes, de quoi la bourgeoisie nationale québécoise a-t-elle besoin pour achever et consolider son intégration dans l'ensemble impérialiste canadien? Comment se fait-il que le Québec soit à la fois si près et si loin de la souveraineté? Cette contradiction, qu'un Bernard Landry a parfois évoquée, le PQ n'a jamais vraiment voulu y répondre.

Du point de vue des travailleurs et travailleuses, il est d'ores et déjà évident qu'il n'y a rien à attendre du PQ et de sa nouvelle leader. Le PQ n'a jamais été une alternative pour les ouvrières et ouvriers, et il l'est encore moins aujourd'hui.

Au mieux, tout ce qu'on peut espérer, c'est que Pauline Marois se lance dans un de ces "grands chantiers" dont le PQ a le secret et qu'elle propose de subventionner l'installation de "toilettes silencieuses" dans nos logements... Car c'est vrai que c'est tout un problème, ça, que d'entendre constamment le bruit de la chasse d'eau! Ah! la misère des riches...

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Article paru dans Arsenal-express, nº 139, le 20 mai 2007.
Arsenal-express est une liste de nouvelles du Parti communiste révolutionnaire.
Pour vous abonner: renseignez-vous au www.pcr-rcp.ca.

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Allez les boys, vous allez les avoir !

Vêtu d'une tenue de protection, un casque sous le bras, Stephen Harper a fait un signe du pouce alors qu'il montait à bord d'un hélicoptère Black Hawk, mercredi, devenant ainsi l'un des seuls premiers ministres en poste à s'aventurer à proximité des premières lignes de combat.
Nous avons un premier ministre vraiment courageux ! Il va s'aventurer dans une zone remplis de "méchants terrorisses".


Plus tôt en journée, M. Harper, au second et dernier jour de sa visite officielle en Afghanistan, a prononcé une allocution en présence de soldats réunis sur un terrain de la base aérienne de Kandahar, lors de laquelle il a plus que laissé entendre que les troupes canadiennes ne quitteraient pas l'Afghanistan de sitôt.
«Vous savez que votre travail n'est pas terminé», a-t-il lancé à quelque 300 militaires.
Mais quel travail au juste ? Permettre aux compagnies pétrolières d'installer leur beau pipeline ? Tuer des talibans au lieu de négocier avec eux ? Protéger un régime pantin tout aussi réactionnaire que le précédent ? Donner une occasion en or au FMI de ce faire de l'argent sur le dos des afghans les plus pauvres ? Envahir un pays qui représente une des meilleures positions stratégiques du monde ?

Canada, hors d'Afghanistan !

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mardi 22 mai 2007

 

Dumont et Tremblay blâment la grève à la STM


Selon Mario Dumont, ce bouffon de première classe, le gouvernement Charest devrait être plus agressif et hausser le ton envers les syndicats qui ont déclenché une grève à la STM depuis aujourd'hui. Il propose à notre Premier ministre frisé de menacer le syndicat avec une loi spéciale au cas où les négociations sont une échec.
« Le gouvernement devrait donner, dès ce moment-ci, des indications à l'effet que (sic) ce ne sera pas une récréation qui va durer pendant des semaines. Dans un contexte où l'usage du transport en commun est encouragé par les pouvoirs publics, qu'il contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre, il est normal que le gouvernement prenne les moyens à sa disposition pour s'assurer de la fiabilité du service », estime le chef adéquiste.
Si vraiment Mario Dumont voulait montrer une petite goutte de "démocratie", pourquoi ne veut-il pas inviter les autres partis (PQ, PLQ) à s'asseoir à table et négocier avec le syndicat ? Pour nous, l'ADQ ne veut pas "passer à l'action", mais plutôt "passer à la réaction". Une politique duplessiste où le syndicat est réprimandé parce qu'il "empêche" l'économie de rouler selon les désirs de l'Élite économique et politique.

Pendant ce temps, le maire Trembley fait aussi son sévère ! En effet, selon lui, et son discours, Montréal ne cédera pas à la pression de la part des syndiqués de la STM, parce que la ville ne possède pas les moyens de le faire. Toujours selon ses dires, l'administration a le devoir de rester dogmatique et entêtée envers les syndicats.
« Pendant des années, différentes administrations ont cédé devant la pression de certains syndicats pour obtenir plus, toujours plus. Et ça a marché, avec les conséquences que vous connaissez. Cette fois, nous ne céderons pas parce que le faire serait contre l'intérêt de Montréal, contre votre intérêt. »
Ahh... par contre, vous laissez des tonnes de compagnies privées à la fois de l'étranger et de l'intérieur pondre leurs machines à production. Vous avez même la possibilité de privatiser des courants d'eau, des lieux publics et laisser faire ces droitistes assoifés de profits faire leur travail. S'ils réclament quelque chose, c'est tout de suite l'obéïssance !

Mais quand c'est le syndicat... ah non, ils sont trop bien payés ! Tellement qu'ils ont un salaire inférieur à celui des travailleurs-euses du secteur privé ! "Ah mais, c'est bien !" certainEs diront. Mais alors, pourquoi donner autant de pouvoir aux compagnies privées, contrairement au peuple qui se le fait enlever années après années ?

Il est drôle de voir que le salaire annuel du maire Tremblay, qui tourne autour de 150 000$, ne vous dérange nullement.

==> Mario Dumont commente
==> Gérald Trembley s'exprime
==> À lire : pourquoi la grève à la STM ? (2)

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Voici à quoi ressemble la jeunesse de la Haute-Bourgeoisie

Voici une excellente vidéo qui montre en peu le mode de vie de la jeunesse faisant partie de la Haute-Bourgeoisie. Cette idée bourgeoise est à la fois encrée dans l'idéal social, morale et économique ! On peut même dire politique.

Admirez.

L'argent, ah oui l'argent.

Dommage que cette jeunesse soit victime d'elle-même. Le pire dans tout cela, c'est que même les plus pauvres tentent d'en faire autant... mais sans argent dans leur poche.

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Les manigances de l’OEA et de Washington vis-à-vis de Caracas

Nous avons trouvé cet article fort intéressant à propos d'Hugo Chavez et des accusations gratuites lancées sur lui. Ceci est à diffuser largement :
La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) mène campagne contre le président Hugo Chávez qu’elle présente comme un dictateur muselant la presse. En réalité, la CIDH de l’OEA est placée sous la coupe du département d’État des États-Unis pour lequel elle fait œuvre de propagande. Salim Lamrani analyse les incohérences des accusations lancées contre le Venezuela.

En avril 2007, suite aux pressions de Washington, la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) de l’Organisation des États américains (OEA) a décidé d’ouvrir une enquête à l’encontre du Venezuela pour « atteinte à la liberté d’expression ». La CIDH fait référence à des agressions dont auraient été victimes certains journalistes de deux chaînes de télévision putschistes RCTV et Globovisión, durant le coup d’État — qu’elles avaient par ailleurs soutenu — contre le président Hugo Chávez en avril 2002. Cinq ans après les faits, la Commission a subitement jugé que les plaintes étaient recevables.

La CIDH avait maintenu un silence étonnant suite au coup de force du 11 avril 2002, où plusieurs personnes avaient été sauvagement assassinées. Au lieu de se prononcer sur les violations massives des droits de l’homme qui ont suivi le coup d’État qui avait renversé Chávez pendant 48 heures, elle a préféré au contraire accorder du crédit aux plaintes déposées par l’opposition, responsable de la rupture de l’ordre constitutionnel. En réalité, le timing de cette procédure, aux motivations politiciennes, est intimement lié à la décision du gouvernement vénézuelien de ne pas renouveler la concession audiovisuelle à RCTV, qui arrive à son terme le 27 mai 2007.

Le président Chávez n’a pas tardé à réagir pour dénoncer l’hypocrisie de la CIDH qui, selon lui, ne dispose d’aucune autorité morale « pour émettre un quelconque jugement en référence aux affaires constitutionnelles du Venezuela […], car elle a largement soutenu par son silence la violation des droits de l’homme durant le coup d’État d’avril 2002 ». Il a également stigmatisé le manque d’indépendance de la Commission dont les instructions « correspondent aux intérêts de l’administration Bush ». « Comment vont-ils venir donner leur avis alors qu’ils ne se sont pas prononcés sur les faits inconstitutionnels et immoraux du coup d’Etat ? », a-t-il questionné.

La position partisane de la CIDH montre malheureusement à quel point elle est tributaire de l’influence de la Maison-Blanche. Il est en effet surprenant de voir cette Commission de l’OEA tenir les autorités vénézueliennes responsables de quelques agressions sporadiques dont ont été sujets certains professionnels des médias privés, alors qu’elle a toujours refusé de condamner la fermeture de la chaîne de télévision publique Canal 8 par les putschistes en avril 2002 et les violences qui se sont ensuivies. Par cette action au timing douteux, la CIDH se prête à la campagne hostile contre le gouvernement bolivarien et vient de perdre le peu de crédibilité qui lui restait.

La question de RCTV

La décision du gouvernement vénézuelien de ne pas renouveler la concession à RCTV est une action parfaitement légale puisque le spectre des ondes hertziennes appartient à l’État. De plus, elle a été largement approuvée par la population, qui a encore en mémoire la participation active de cette chaîne aux sanglants évènements d’avril 2002. De nombreux observateurs se sont d’ailleurs étonnés du fait que les quatre principales chaînes d’information privées Univisión, Globovisión, RCVT et Televen, toutes complices du coup d’État dirigé par Washington, n’aient pas été nationalisées.

Lors d’un acte flagrant d’ingérence dans les affaires internes d’un pays voisin, le Sénat chilien a approuvé une résolution exigeant de sa présidente Michelle Bachelet qu’elle proteste contre le non renouvellement de la concession de RCTV devant l’OEA. L’accord souscrit par 18 voix contre 6 dénonce « la transgression à la liberté de pensée et d’expression », sans pour autant mentionner l’implication de la chaîne dans les évènements de 2002. L’adoption de ce texte par un Sénat dominé par une majorité de droite n’est guère surprenante, selon le président Chávez : « Il s’agit de la même droite qui avait applaudi le coup d’État » de 2002, « cette extrême droite qui nous hait ». Cet échange virulent a engendré quelques tensions entre les deux nations.

Jesse Chacón, le ministre du Pouvoir populaire pour les télécommunications et l’informatique, a expliqué que le non renouvellement de la concession à RCTV était un fait naturel et inexorable. En effet, conformément aux articles 1 et 4 du Règlement sur les concessions pour les télévisions et les radios, l’accord qui a été signé le 27 mai 1987 avec RCTV pour une durée de 20 ans arrive à échéance le 27 mai 2007. L’espace radioélectrique actuellement occupé par RCTV sera destiné à une nouvelle chaîne publique conformément à l’article 108 de la Constitution qui stipule que l’État « garantira des services publics de radio et télévision et des réseaux de bibliothèques et d’informatique afin de permettre l’accès universel à l’information ».

Chacón insiste bien sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une décision politique : « S’il s’agissait d’une décision politique, le 14, 15 ou 16 avril [2002] nous aurions ouvert une procédure administrative et on aurait fermé toutes les chaînes de télévision, car nous Vénézueliens savons comment elles ont activement participé au coup d’État du 11 avril ». Le ministre a souligné que les temps avaient changé depuis 1987 et que désormais la priorité était donnée au service public d’information.

RCTV, en plus de sa participation avérée au coup de force de 2002, est la chaîne de télévision qui a été la plus sanctionnée dans l’histoire du Venezuela. Depuis sa création en novembre 1953, le média privé a été sanctionné pas moins de six fois par les autorités. En 1976, sous le premier gouvernement de Carlos Andrés Pérez, RCTV avait été fermée pendant trois jours pour avoir violé la loi sur les programmes télévisuels. En 1980, le gouvernement de Luis Herrera Campins avait décrété une fermeture de 36 heures pour les mêmes raisons. En 1981, elle avait également été fermée pendant 24 heures pour avoir divulgué des scènes à caractère pornographique. Sous le second gouvernement de Carlos Andrés Pérez, RCTV fut sanctionnée pendant une journée pour avoir diffusé de la propagande commerciale en faveur de la consommation de tabac. En 1991, la Cour suprême de justice avait interdit un programme non conforme à la législation. Enfin, en 2005, sous le gouvernement de Chávez, RCTV a été condamnée à une forte amende pour entente illicite avec d’autres chaînes de télévision et violation des règles de la concurrence.

Le président Chávez a réaffirmé que la décision prise au sujet de RCTV était irrévocable. Désormais, la deuxième chaîne sera utilisée « au bénéfice de la nation et non contre la dignité des Vénézueliens ».

Hostilité croissante de Washington

Le leader vénézuelien a également accusé le gouvernement des États-Unis de stimuler l’opposition interne en vue de déstabiliser le pays. Un récent rapport du Département d’État accusait Chávez, qui a remporté près de 12 victoires électorales démocratiques successives depuis 1998, de représenter une « menace pour la démocratie vénézuelienne ». L’administration Bush, qui a essayé à plusieurs reprises de renverser le président bolivarien, n’apprécie guère les politiques indépendantes du Venezuela et ses succès sociaux qui installent un dangereux précédent sur le continent. Elle a clairement démontré qu’elle comptait se débarrasser de l’homme le plus populaire d’Amérique latine.

Échaudés par les déclarations de Washington, les secteurs extrémistes de l’opposition vénézuelienne n’ont pas tardé à réagir. Le 26 avril 2007, une nouvelle bombe explosait près de l’ambassade de Bolivie à Caracas, faisant d’importants dégâts matériels, et portant à près de onze le nombre d’attentats terroristes commis durant les derniers mois. Plusieurs personnes ont été arrêtées dont deux avocats, Luis Alberto Rodríguez et Diana Carolina Mora Herrera, qui avaient placé les explosifs.

Les États-Unis n’ont jamais écarté un éventuel assassinat du président Hugo Chávez. Depuis son élection, sa sécurité personnelle a été extrêmement renforcée et plusieurs plans d’attentats ont été déjoués par les services de renseignement. Washington, qui vient de libérer le Ben Laden latino-américain, Luis Posada Carriles, un terroriste responsable, entre autres, de 73 assassinats, a donné un signal clair à Caracas. Une élimination physique d’Hugo Chávez est à l’ordre du jour.

Salim Lamrani
Profesor de espanol y joven investigador en la Universidad Denis-Diderot de Paris


==> Voir l'article

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lundi 21 mai 2007

 

Journée nationale des Patriotes

Je meurs sans remords. Je ne désirais que le bien de mon pays dans l'insurrection et l'indépendance. Mes vues et mes actions étaient sincères et n'ont été entachées d'aucun des crimes qui déshonorent l'humanité et qui ne sont que trop communs dans l'effervescence des passions déchaînées [...]. Malgré tant d'infortune, mon cœur entretient encore du courage et des espérances pour l'avenir. Mes amis et mes enfants verront de meilleurs jours, ils seront libres. Un pressentiment certain, ma conscience tranquille me l'assurent [...] je meurs en m'écriant : Vive la Liberté, Vive l'indépendance!

- François-Marie-Thomas (dit Chevalier) de Lorimier
==> Un peu d'histoire

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La pollution grimpe ; l'orgueuil élitiste aussi

Pensée magique de la Droite : ça crée des jobs !

Encore une fois, une étude démontre une augmentation des émissions de dioxyde de carbone (majoritairement le principal gaz à effet de serre) à travers le monde entre 2000 et 2004. En effet, cette hausse est dite « alarmante » puisque son rythme a été trois fois supérieur à celui des années 90.
Ces émissions de CO2 ont augmenté de 3,1% par an au début des années 2000 contre un rythme de 1,1% par an dans les années 1990, d'après cette étude publiée sur le site internet de la revue de l'Académie nationale des Sciences (PNAS).
Hmm, intéressant. Alors, tous ces « débats » à propos des actions que les gouvernements pourraient s'engager à appliquer n'ont été que du vent. Non seulement rien n'a été fait pour ralentir cette croissance, et la diminuer, mais certaines administrations refusent d'y faire quoi que ce soit ! C'est bien le cas de la Chine, de la Russie et des États-Unis. N'oublions pas aussi le Canada où notre visionnaire favoris, John Baird, a affirmé que le protocole de Kyoto serait « catastrophique » sur l'économie canadienne. N'oublions pas aussi Stephen Harper qui qualifie ceci de « complot socialiste » !
"Malgré le consensus scientifique selon lequel les émissions de dioxyde de carbone affectent le climat, nous ne constatons pas de signes de progrès dans la gestion de ces émissions aussi bien dans les pays développés que dans les pays en développement. Dans de nombreuses parties du monde, nous reculons", souligne le principal auteur de cette étude, Chris Field, directeur du département sur l'écologie mondiale à la Carnegie Institution.
Pendant ce temps, à Washington, l'administration Bush mets pression sur le prochain G8 qui aura lieu en Allemagne. En effet, celle-ci refuse que le G8 amène sur la table une négociation d'un nouvel accord mondial sur la luttre contre les changements climatiques.
Dans une version de travail du communiqué final qui sera diffusé à l'issue du sommet de Heiligendamm, du 6 au 8 juin, Washington demande le retrait de toute référence à l'urgence de la crise climatique et à la nécessité de voir la conférence de Bali, qu'organisent en décembre les Nations unies, ouvrir des discussions sur un nouvel accord mondial.
La raison est simple : cela va à l'encontre de son économie. Qui dit économie, dit compétition. Cette compétition est contre la Chine et, nouvellement, l'Inde. Donc, à quoi bon réduire notre pollution si c'est pour réduire notre lot de profits qui est plus ou moins supérieur à celui de la Chine ? Après tout, le profit avant l'homme !

Mais attendez... c'est vrai... l'impérialisme économique des États-Unis couvre le globe terrestre !

==> Hausse des émissions de CO²
==> Les É.-U. refusent toute négotiation sur le climat

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Le couple impériale japonais en visite en Europe...

L'empereur Akihito et son épouse l'impératrice Michiko ont quitté le Japon lundi pour une tournée européenne de dix jours en Suède, en Grande-Bretagne et dans les trois pays baltes, où ils se rendent pour la première fois.
Ha ! Comme ça, le vieux couple qui ose encore se proclamer de l'empire du Japon fait sa petite visite en Europe ! En 2007, nous croyons que la famille impériale japonaise donne toujours cet air de vieillerie réactionnaire d'une autre époque, exactement comme la Bébette en Angleterre, qui dans le fond, reste une reine sans royaume ! Pour un couple qui coûte des millions de dollars chaque année aux contribuables japonais, vous semblez quand même classe !

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dimanche 20 mai 2007

 

Citation de la semaine

« En 1940 il était juif. En 1970 il était communiste. Aujourd’hui il est musulman. »
- Claude Covassi

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Télévision : pour plus de capitalisme !

Dès septembre 2009, nous pourrons voir sur les écrans de télévisions canadiennes des tonnes et des tonnes de pubs d'une durée illimitée ! En effet, la CRTC a estimé qu'en donnant feu vert aux télédiffuseurs d'afficher autant de publicités qu'ils voudront, financerait leur virage vers la diffusion numérique qui doit absolument être atteinte avant le 31 août 2011. C'est quand même positif d'un certain point car notre pause pipi sera plus prolongée, ainsi que notre pause "préparer à bouffer".
Le règlement actuel limite la publicité à 12 minutes par heure de diffusion. Graduellement, elle prendra plus de place. Dès septembre de cette année, 14 minutes seront permises, et une de plus en 2008. Ces restrictions s'appliquent aux 18 heures de télédiffusion reconnues par le Conseil, ce qui exclut minuit à 6 h.
Comme si on avait pas assez... il en faut plus ! Cela va aller en augmentant, ce qui est intéressant. Vous savez, le temps de permettre aux télédiffuseurs de choisir les publicités qu'ils veulent pour nos téléspectateurs qui sont déjà lavés du cerveau par ce qui se véhicule via notre écran.

Mieux, des publicités.

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Hausse du prix de l'essence : c'est légitime !

Tout à fait justifié et légitime. Cette hausse, disent-ils ces contrôleurs du monde, est causée par la fermeture de plusieurs raffineries pétrolières (en cours ou non), ce qui a eu pour conséquence une chute de l'approvisionnement en pétrole avant la haute saison touristique américaine. Cette hausse est aussi expliquée, toujours selon ces bandits, par l'approche d'une saison forte en ouragans et autre tempêtes sévères qui risquent d'affecter l'économie.
«La capacité de raffinement est utilisée au maximum, a déclaré Bart Melek, analyste chez BMO Marché des capitaux. Alors il n'y a pas assez d'essence pour suffire à la demande. Les prix élevés constituent la réponse du marché à cette forte demande mondiale jumelée à la faible croissance en approvisionnement.»
Donc, si tout nos moyens de transports se changent radicalement pour fonctionner à l'hydrogène, à l'électricité ou à l'énergie solaire, la demande de pétrole n'existera presque plus dans les pays où ces technologies seront mises en oeuvres... c'est exact ?

Pourtant, ce n'est pas ce qui arrive. Nous sommes encore dans la prison des intérêts capitalistes de la Droite qui s'entête à rester comme on est, tout en donnant certaines études bidons qui expliquent des améliorations de quelques centimes de pourcentage dû à l'augmentation des richesses mondiales. Malheureusement, ces études ne parlent jamais des écarts qui ne cessent de grandir : ce n'est pas parce qu'un pays pauvre augmente (et nous simplifions de beaucoup) d'un pourcentage de PIB de 4% et qu'un pays riche de 1% que, automatiquement, le pays pauvre augmente plus vite que le pays riche ! Même que, c'est l'inverse : le pays pauvre s'améliore, c'est un fait, mais dans une proportion ridicule avec un terrorisme multinational bien présent.

Ce n'est pas parce que nous avons une augmentation de 200% de notre salaire que nous vivons beaucoup mieux ! Avec un dollar par jour, c'est pas évident. En avoir 3$ ne change en rien nos conditions de vies dégeulasses actuelles puisque l'inflation existe et que ce petit 3$ en vaut autant que mon 1$ d'autrefois. La Droite s'entête à croire l'inverse et affirme avec rigueur que les pays pauvres s'enrichissent plus vite que les pays riches !

Dommage que tout ça, on en parle pas... Par contre, on parle d'une autre raison de la hausse du prix de l'essence : c'est de la faute à l'Afrique !
M. Melek parle également de la situation incertaine au Nigeria pour expliquer cette hausse, qui n'a rien à voir selon lui avec l'arrivée d'un long congé au pays.
Trop de pathétisme.

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