mardi 10 avril 2007
Roméo Dallaire, le grand sage.
Qui l'aurait cru ? Pas nous, en tout cas.
Roméo Dallaire, cet ex-général canadien, désormais sénateur, n'a toujours pas compris sa leçon tirée du génocide rwandais de 1994. Il ose affirmer et ouvertement aux Québécois « mettre en garde » ceux-ci de la présence militaire nécessaire en Afghanistan. Il a dit, et nous citons :
Pour lui, il est préférable de sacrifier de jeunes vies humaines québécoises au détriment des intérêts impérialistes canadiens en Afghanistan sous prétexte de « reconstruire » et « libérer » le pays. C'est ce même pays qui a été mis dans la catastrophe depuis la prise au pouvoir des seigneurs de la guerre grâce à l'intervention d'une puissance néocolonialiste : les États-Unis !
Donc, suivant la logique au bouffon Dallaire, c'est plus facile de tuer des vies que d'en sauver. En effet, envoyer des soldats c'est plus facile que d'envoyer des médecins, par exemple, ou bien aider la résistance afghanne à combattre la présence talibane qui elle-même reprend le contrôle du pays dans l'appareil même de l'État. Cet État, bien sûr, a été rédigé et construit selon les intérêts occidentaux.
Pour continuer, Roméo parle d'y mettre notre sang et notre sueur chez les afghans avec des armes en mains. N'a-t-il pas compris ? A-t-il oublié le génocide rwandais et la non-intervention de l'ONU ? Non seulement les premières interventions des puissances en Afghanistan l'ont mis dans l'embarras - parce que celles-ci avaient la frénésie d'arrêter la « Peste Rouge » qui s'avançait là-bas -, mais Dallaire se permet de dire qu'il est nécessaire d'imposer « leur » culture et « leur » politique. Lorsque nous faisons référence à « leur », nous ciblons évidemment les intérêts de l'Élite canadienne dont Roméo Dallaire est membre officiel du club.
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Roméo Dallaire, cet ex-général canadien, désormais sénateur, n'a toujours pas compris sa leçon tirée du génocide rwandais de 1994. Il ose affirmer et ouvertement aux Québécois « mettre en garde » ceux-ci de la présence militaire nécessaire en Afghanistan. Il a dit, et nous citons :
« La responsabilité internationale, ce n'est pas seulement donner de l'argent aux missionnaires ou pour le développement international. C'est aussi des sueurs, des grincements de dents et, parfois, le sang de nos jeunes. »Étonnant ? Pas du tout.
Pour lui, il est préférable de sacrifier de jeunes vies humaines québécoises au détriment des intérêts impérialistes canadiens en Afghanistan sous prétexte de « reconstruire » et « libérer » le pays. C'est ce même pays qui a été mis dans la catastrophe depuis la prise au pouvoir des seigneurs de la guerre grâce à l'intervention d'une puissance néocolonialiste : les États-Unis !
Donc, suivant la logique au bouffon Dallaire, c'est plus facile de tuer des vies que d'en sauver. En effet, envoyer des soldats c'est plus facile que d'envoyer des médecins, par exemple, ou bien aider la résistance afghanne à combattre la présence talibane qui elle-même reprend le contrôle du pays dans l'appareil même de l'État. Cet État, bien sûr, a été rédigé et construit selon les intérêts occidentaux.
Pour continuer, Roméo parle d'y mettre notre sang et notre sueur chez les afghans avec des armes en mains. N'a-t-il pas compris ? A-t-il oublié le génocide rwandais et la non-intervention de l'ONU ? Non seulement les premières interventions des puissances en Afghanistan l'ont mis dans l'embarras - parce que celles-ci avaient la frénésie d'arrêter la « Peste Rouge » qui s'avançait là-bas -, mais Dallaire se permet de dire qu'il est nécessaire d'imposer « leur » culture et « leur » politique. Lorsque nous faisons référence à « leur », nous ciblons évidemment les intérêts de l'Élite canadienne dont Roméo Dallaire est membre officiel du club.
« Quand on est un pays qui a atteint un tel niveau de développement, on n'a pas le droit de se replier sur nous-mêmes, dans nos régions. On a une responsabilité de protéger les autres »Sacré Dallaire.
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Libellés : Politique
# publié par Camarade Tova @ 22 h 31 
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