mercredi 26 septembre 2007

 

Le 29 septembre, on reprend notre manif…


Sans aucun motif valable et faisant fi des droits à la liberté d’expression et de manifestation, la police de Saint-Jérôme, accompagnée par la Sûreté du Québec, est intervenue massivement samedi le 11 août dernier pour disperser une manifestation organisée par la section des Laurentides du Parti communiste révolutionnaire, arrêtant sans raison neuf militantEs. Contre cette attaque politiquement ciblée, le PCR-Laurentides vient de lancer l’appel à reprendre la manifestation : il n’est pas question de laisser la police décider quels points de vue politiques ont droit de cité – que ce soit à Saint-Jérôme ou n’importe où ailleurs – et empêcher les militantEs de les faire valoir. La manifestation interrompue par la police reprendra donc samedi le 29 septembre prochain à compter de 13h au Carré Curé-Labelle, au coin de la rue Parent et de la 117. Nous lançons l’appel à nos lecteurs et lectrices, et à l’ensemble des militantEs qui s’opposent à la répression politique et soutiennent le droit de s’organiser, à venir appuyer le PCR-Laurentides ainsi que les militantes et militants qui ont été arrêtéEs et font maintenant face à des accusations criminelles aussi choquantes qu’insensées!

Le Drapeau rouge
Voici un rappel de ce qui s’est passé le 11 août, d’après les comptes rendus publiés par Le Drapeau rouge-express et la presse régionale :

Annoncée depuis déjà quelques semaines, la manifestation convoquée par le PCR-Laurentides visait à promouvoir le socialisme et inciter les prolétaires de Saint-Jérôme à s’organiser pour la révolution. Dès 13h00, la cinquantaine de manifestantes et manifestants se sont rassembléEs comme prévu au Carré Curé-Labelle. Des membres du corps policier de Saint-Jérôme sont alors venus les avertir qu’ils « respecteraient leur droit de manifester [sic] à condition qu’ils restent dans le parc ou sur les trottoirs » : aussi bien dire que leur idée était déjà faite et qu’il n’était pas question, pour eux, de tolérer qu’une manifestation se déroule dans les rues de Saint-Jérôme.

Après l’intervention d’une camarade du PCR qui a souligné que cette manifestation communiste était une première pour Saint- Jérôme et dénoncé les conditions de vie et de travail difficiles des prolétaires de la région, le cortège a pris la rue de manière vivante. La plupart des manifestantEs arboraient le drapeau rouge et scandaient avec enthousiasme des slogans contre l’exploitation, pour le communisme et la révolution. Les gens sur la rue s’approchaient du contingent pour en connaître plus sur les objectifs de la manifestation : plusieurs ont d’ailleurs pris avec intérêt les tracts et journaux distribués par les diffuseurs.

Les manifestantes et manifestants ont fait un premier arrêt au skate park, où un autre camarade a brièvement pris la parole pour dresser le portrait de la condition des jeunes de la région, aux prises avec un taux de chômage élevé, des salaires de misère et aussi beaucoup de répression : là comme ailleurs, la police cible et harcèle les jeunes considéréEs comme « marginaux ».

La manifestation s’est alors remise en route. C’est au moment du deuxième arrêt, devant la fonderie Mueller, qu’une horde de flics (11 auto-patrouilles) est apparue en catastrophe, dans un certain désordre : des flics de Saint- Jérôme, bien sûr, accompagnés par d’autres venus des municipalités voisines de Sainte- Sophie, Saint-Hyppolite, Mirabel et Rivièredu- Nord, ainsi qu’une agente des services de renseignement de la SQ. Les policiers sont sortis de leurs véhicules en courant pour se ruer sur les manifestantes et manifestants, en particulier ceux et celles qui tenaient les bannières et porte-voix. Sans avertissement, ils ont commencé à procéder à des arrestations, en criant que tout le monde recevrait un constat pour « entrave » (alors que ce sont pourtant eux qui venaient entraver le déroulement d’une manifestation parfaitement légale).

À un manifestant qui lui demandait simplement, à deux mètres de distance, quel était le motif de cette intervention soudaine, une policière a répondu en l’aspergeant de poivre de cayenne. Une de ses collègues, qui répondait aux ordres mais semblait totalement confuse, a répondu à un autre manifestant qui lui demandait s’il s’était passé quoique ce soit qui justifie ces arrestations : « Il ne s’est rien passé mais vous n’avez pas demandé de permis, alors je pense bien qu’il s’agit d’une entrave »!

Alors que les flics procédaient aux premières arrestations, la majorité des manifestantEs ont trouvé le moyen de s’enfuir à travers les rues et les parcs environnants. En fin de compte, neuf personnes ont été amenées au poste et assignées à comparaître pour une accusation criminelle « d’entrave à un agent de la paix ».

Selon la « logique » policière, puisqu’ils et elles avaient été avertiEs de ne pas prendre la rue, les manifestantes et manifestants se seraient misES en contravention en manifestant quand même. Il semble que le fait de ne pas suivre un ordre par ailleurs contraire au droit constitutionnel constituerait une « entrave » au travail de la police! De toute évidence, une accusation aussi mal fondée ne tiendra pas la route devant le tribunal.


Une répression politique ciblée
Dans un article publié dans l’édition du 24 août de l’hebdomadaire Accès de Saint-Sauveur, le sergent Robin Pouliot, du service de police de Saint-Jérôme, est venu confirmer le caractère purement politique de l’intervention policière. La journaliste qui l’a interrogé rapporte que « les bannières “On a raison de se révolter” ont eu l’heur de choquer les policiers ». Elle cite ensuite ses propos : « Quand on distribue des tracts haineux et qu’on contrevient à la loi, faut s’attendre à une réplique… » Le sergent Pouliot se garde bien de préciser à quelle « loi » les manifestantEs auraient contrevenu : à la « loi de la police de Saint-Jérôme » peut-être? À la sienne propre?
Cette déclaration, jumelée à la présence d’une agente des services de renseignement de la SQ (qui a par la suite expliqué qu’elle était là pour « surveiller le parti »), montre bien qu’on a eu affaire à une répression politique ciblée et délibérée : la police avoue en effet avoir agi dans le but d’empêcher l’expression du point de vue communiste, qu’elle assimile à des propos « haineux ».

Lors de l’audience pour la forme tenue le 16 août, la procureure de la Couronne affectée au dossier a tenté de faire ajouter des conditions de remise en liberté aux neuf accuséEs – qu’elle a par ailleurs qualifiéEs de « dangereux criminels » – incluant une interdiction de séjour à Saint-Jérôme et surtout, l’interdiction d’aller manifester à Montebello à l’occasion du sommet du Partenariat pour la sécurité et la prospérité, qui devait avoir lieu la semaine suivante. Cette requête a toutefois été écartée par le tribunal pour des raisons techniques étant donné l’absence des accuséEs, dont la présence n’était pas requise à cette étape des procédures. Tout cela ajoute au caractère politique de l’intervention du 11 août.


Une bataille politique qui concerne tout le monde
Le PCR est actif depuis déjà un bon bout de temps à Saint-Jérôme. Les militantEs de la région travaillent à mobiliser les ouvrières, les ouvriers et la jeunesse prolétarienne dans la lutte contre le capitalisme. Cela n’a rien pour plaire aux bourgeois locaux, et aux flics qui les défendent.
En 2005, pendant la grève étudiante, les communistes étaient présentEs quand la police s’était montrée particulièrement répressive contre les étudiantes et étudiants militantEs. Sur la ligne de piquetage au cégep, certains flics s’étaient comportés comme de véritables brutes, assénant des coups de poing à main nue aux visages de certainEs étudiantEs.

De manière générale, il est clair que l’intervention du 11 août – qu’elle ait été motivée par des objectifs de pure « vengeance » de la police locale ou par une volonté à plus haut niveau de crminaliser les communistes révolutionnaires (ou une combinaison des deux) – n’avait certainement rien d’innocent. Dans un cas comme dans l’autre, cette intervention ne devra pas rester impunie.

Il va sans dire que les accuséEs et leurs avocats se préparent à mener la bataille politique qui s’impose en vue du procès que l’État a choisi de leur imposer. La poursuite et les policiers qui ont monté le dossier d’accusation devront expliquer publiquement pourquoi ils souhaitent encore appliquer la célèbre « loi du cadenas » de Maurice Duplessis, qui interdisait « toute propagande communiste dans la province de Québec » et que la Cour suprême du Canada a abolie en… 1957!

Mais cette bataille ne concerne pas que les accuséEs, le PCR ou les seulEs participantes et participants à la manifestation du 11 août, et elle déborde largement le terrain judiciaire : elle intéressera aussi tous ceux et celles qui appuient le droit de manifester, de résister, de se révolter et d’exprimer des idées politiques dissidentes et/ou révolutionnaires.

Alors, tous et toutes à Saint-Jérôme le 29 septembre!

Le PCQ et la NEFAC dénoncent l’intervention policière

Dans un communiqué, la section des Laurentides du Parti communiste du Québec, dont des membres étaient présents à la manifestation, a tenu à dénoncer cette « preuve flagrante de répression policière telle que l’on a vu dans les pires chapitres sous le règne de Maurice Duplessis » : « La police, de toute évidence, n’accepte pas d’être remise en question; elle n’accepte pas que son autorité soit remise en cause… Nous dénonçons les abus policiers qu’il y a eu ce 11 août. »

Les camarades de la Fédération des communistes libertaires du Nord-Est (la NEFAC) ont aussi fait connaître leur soutien : « À la NEFAC, nous avons nos différends avec les maoïstes (sic!) mais nous ne sommes pas sectaires au point de passer sous silence un cas patent de répression policière… Ayant subi plus souvent qu’à notre tour ce type de répression policière, les militants de la NEFAC expriment leur solidarité avec ceux et celles du PCR. »
Transport de Montréal disponible:
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(près du siège social de la FTQ).
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(mailto:info@pcr-rcp.ca) ou par téléphone
(514 409-2444).

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Commentaires:
Seul le point de vue des "résistants" est exprimé ici. Il est biaisé. Le criminel verra toujours le policier comme répressif, le violeur verra toujours la femme comme provocatrice.

Vous avez des tendances violentes, vandales et provocatrices.

Manifestez selon les paramètres de la loi, et il ne vous arrivera rien, c'est pourtant simple. Les policiers doivent être félicités pour leur bon boulot. On est quand même loin de la répression cubaine, vénézuélienne ou iranienne ici, quand même.

Soyez-en heureux au lieu de vous plaindre.
 
Mais câlisse, nous avons fait quoi de mal là-dedans, pro-terrorisme ? Vous êtes comme l'idiot qui approuvait la police à Montebello et qui la voyait comme opprimée par la méchante gauche.
 
Je me souviens encore des photos du billet sur la manif du 11 août où on voyait des graffitis sur de la propriété publique et privée (côté vandale).

Je me souviens encore des photos du billet sur la manif du 11 août où on voyait des tas d'individus masqués et le poing levé et la distribution de tracts (côté provocateur et gaspilleur de papier).

Pour le côté violent, c'est implicite.

Des manifs comme ça en 2007, c'est inutile et anti-productif.
 
Il n'y a eu aucun geste violent de posé St-Pierre et manifester est un droit démocratique. Distribuer un tract est un geste démocratique. C'est drôle mais les gens ne trouvent rien à redire sur les tracts publicitaires, mais quand ce sont des tracts politiques qui ne te plaisent pas alors là c'est autre chose!

Alex
 
C'est ça. Continuez si vous voulez. Vos "dizaines" de sympathisants vont être heureux.

Est-ce un hasard que vous vous rencontriez près de la FTQ, ou bien était-ce plus pratique de procéder ainsi puisque la grande majorité des membres de ces groupuscules y travaillent?
 
C'est quoi le rapport de la FTQ dans ton message et surtout de dire qu'on y travaille?

Alex
 
N'importe quoi. Oui, il y a des gens du PCR qui travaillent dans les syndicats, comme des gens de n'importe quel groupe politique. Tu bullshit Jacques, comme toujours. Nous te ferons remarquer que tu n'a pas de pouvoirs sur nous, PDG.
 
C'est le lieu de rassemblement pour "l'étaubussse gratisssee...."
 
Il y a quoi de mal à revendiquer l'autobus gratuite ? Ça permettrait à pas mal plus de gens de bénéficier de ce service et ça serait bon pour l'environnement, mais pas pour les pétrolières.
 
Mais non, je ne me plaignais pas de l'autobus gratuite. Arrêtez de voir des insultes partout. Je rigolais, bon. C'est très bien l'entraide, il en faut, toujours.

Et je ne voulais que questionner le lien entre la FTQ et les partis communistes.
 
La FTQ est plutôt liée au PQ, à moins qu'à l'instar des Bérêts Blancs tu voies le PQ comme un parti communiste!

Alex
 
" Jacques Saint-Pierre a dit...

Seul le point de vue des "résistants" est exprimé ici. Il est biaisé. Le criminel verra toujours le policier comme répressif, le violeur verra toujours la femme comme provocatrice."

-Faux, l'opinion du policier est citée. Plus biaisée que ça, tu meurts. Des propos haineux? Preuves? Et non, il n'y en a pas. Il n'y avait pas de criminels dans cette manifestation et les policiers ont frappé de leur matraques les manifestants. Tu approuves? Je sais bien que oui!


"Vous avez des tendances violentes, vandales et provocatrices."

-Or, ce n'était justement pas le cas cette journée là.


"Les policiers doivent être félicités pour leur bon boulot."

-Les policiers ont abusé de leur pouvoir, il y a beaucoup de témoins. Si tu aimes la répression, vas vivre au Myanmar...


"On est quand même loin de la répression cubaine, vénézuélienne ou iranienne ici, quand même."

-Répression cubaine? Où? Qui t'a dit ça? La dizaine de dissidents qui gagnent des dizaines de millions par année par la C.I.A.? Ce sont des mercenaires, informations biaisées. Si tu veux parler de Cuba, parles-moi de la légitimité de l'embargo illégal vieux de plus de 50 ans! Parles-moi aussi des bombardements au NAPALM et des tentatives d'assassinats! Parles-moi de la loi d'ajustement! Parles-moi de la Baie des cochons! Parles-moi de BATISTA tiens!

Du Vénézuéla? Génial, je l'attendais! Prouve-la! Elle est absente depuis Chavez, elle a plié bagages avec les anciens gouvernements de droite ta répression! Sinon, prouves tes déblatérations, tes inepties!

Radio-Canada avait fait la même stupidité que toi, ils disaient: "Violente répression policière au Vénézuéla" et terminaient par "5 policiers blessés!" Ineptie! Tu vas pleurer la station qui encourageait l'assassinat du président élu démocratiquement? Voilà ce que vous faites de la démocratie quand elle ne vous plaît pas à vous, les droètistes. Chavez n'a pas été répressif envers RCTV, elle diffusé ses messages haineux sous Chavez pendant plus de 7 ans et 97% des médias sont privés et anti-Chavez. Entendons-nous parler de répression sur ces chaînes? Aucunement! Rien, niet!

On a même eu notre lot de menteurs vénézuéliens à MTL! Ils bradissaient des pancartes mensongères et truffées d'inepties! Des pancartes disant: "Fermer les stations, c'est du communisme" ou encore, "Chavez est un dictateur" et même, "Chavez wants a 100% Chavez-tv!"

-D'abord, la station ne fût jamais fermée, mais non-renouvelée. Ensuite, cette station encourageait l'assassinat du président élu démocratiquement et la prise des armes. Et aucunement le communisme ne parle de fermer les stations, j'ai relu les principes du communisme 7 fois et je n'ai rien vu de tel.

-Hugo Chavez n'est pas un dictateur et même que le Vénézuéla n'a jamais été aussi démocratique et le Canada devrait en prendre leçon! Il a été élu démocratiquement et ce, plus d'une fois! Un référendum sur sa révocation ne lui a que donné plus d'appui. Cette affirmation était donc, fausse. Un mensonge, un de plus!

-Comme je dis, 97% des médias sont anti-Chavez et privés. Donc affirmer qu'il veut contrôler les médias par une tv 100% Chavez, est plus que ridicule! Un mensonge de plus, la pile est haute!

Jacques Saint-Pierre le pro-terrorisme et pro-pollution, si tu veux "affirmer" des trucs à propos de Chavez, tu dois les munir de preuves et de sources. "AFFIRMER", c'est dire qu'on détient la vérité et je te prie de la partager si tu la détiens!



Pour ce qui est de l'Iran, je ne défends pas ce que je connais mal et il est clair qu'aujourd'hui, l'Iran subit exactement les mêmes pressions que l'Irak juste avant son invasion. Les trucs dits à propos des homosexuels ont été démentis pour certains et avoués, pour d'autres. Je sais en tout cas que les deux jeunes de l'année dernière qui furent éxécutés l'ont été après avoir été reconnus violeurs d'enfant.



" Jacques Saint-Pierre a dit...

Je me souviens encore des photos du billet sur la manif du 11 août où on voyait des graffitis sur de la propriété publique et privée (côté vandale)."

-Certes, les membres du PCQ n'ont pas fait de grafitis.


"Je me souviens encore des photos du billet sur la manif du 11 août où on voyait des tas d'individus masqués et le poing levé et la distribution de tracts (côté provocateur et gaspilleur de papier)."

-Toi? Tu te permets de parler de gaspillage de papier? Tu soutiens Harper et ses projets pétroliers, j'imagine que tu appuies aussi Rabaska et Cacouna?!?

"Et je ne voulais que questionner le lien entre la FTQ et les partis communistes."

-Les liens entre les syndicats et les partis communistes? Tu blagues?



@Alex,
il commence à y avoir des membres dans la FTQ qui voient Q-S comme le vrai parti à appuyer aux élections pour leurs valeurs. Aussi, une branche plus à gauche commence à conscientiser les ouvriers sur la question environnementale, donc les coupeux de bois vont peut-être s'en prendre à leurs députés et leur maire (Tremblay) au lieu de faire chier les écologistes de Greenpeace! Ça fait plus de 20 ans que les écologistes leur disent d'arrêter de couper, que la forêt boréale est importante etc... C'est donc de dire que les députés et les maires de ces régions concernées, ont eu beaucoup de temps pour remplacer les emplois et pour former les ouvriers à ces nouvelles tâches. La forêt boréale et la forêt vierge amazonienne sont toutes complémentaires d'un tout indispensable à notre survie, le maire "tarla fanatico-religion Tremblay" devra refaire ses devoirs et sauter à pieds joints, sur lui-même!
 
Un autobus qui marche au gaz, tu parles d'une pollution inutile.
 
"Je me souviens encore des photos du billet sur la manif du 11 août où on voyait des graffitis sur de la propriété publique et privée (côté vandale)."

Quelle absurdité. Il n'y a pas eu de graffitis durant cette manif, et encore moins de photo... Tu dois te tromper avec une autre manif sombre idiot.

(Et ne te contente pas de réfuter en disant avec la simplicité d'esprit qui te caractérise que oui il y a des photos, présente un lien vers elles.)

Et lol @ Sylvain Guillemette qui prend même la peine de se rendre compte qu'il n'y pas eu de graffitis (et de photos de ces soi-disants graffitis) faits durant la manif tellement et qui en profite encore pour faire l'opportuniste "Nous le PCQ on n'a pas fait de graffitis."
 
Ouais, bon, je me suis trompé de manif. Vous avez raison. Il y a tellement de manifs chez-vous qu'on s'y perd.

Mais voici un exemple:
http://www.flickr.com/photos/rouleau/75796244/
 
Good! on va pouvoir casser du communiste!

A vos matraques camarades policiers!

Better dead than red!
 
"Et lol @ Sylvain Guillemette qui prend même la peine de se rendre compte qu'il n'y pas eu de graffitis (et de photos de ces soi-disants graffitis) faits durant la manif tellement et qui en profite encore pour faire l'opportuniste "Nous le PCQ on n'a pas fait de graffitis.""

-Je suis opportuniste rare. Tu devrais faire des jambettes au bon adversaire, pécérien. Mets-toi un nom, de préférence un vrai quand tu viens critiquer le monde ici. Et oui, en passant, le PCQ n'a pas fait de grafiti, ce qui ne veut pas dire que je condamne cette action, quand elle est bien faite. si tu fais des dessins du nationaliste Mao sur les murs du Québec, je condamne! C'est clair? Tu seras de la manifestation à Saint-Jérome en fin de semaine? Tu porteras un foulard? tu t'appelleras comment? Patrick, Gilles ou Gontrand? Pécérien, tu fais dans l'opporutnisme en dénonçant du soit-disant opportunisme de ma part. Tu tombes dans ton propre piège...ironique!



" Anonyme a dit...

Good! on va pouvoir casser du communiste!

A vos matraques camarades policiers!

Better dead than red!"

-Voilà quelqu'un qui ne sert visiblement à rien dans la société... Tu connais les noeuds coulants? Portes un nom s'il te plaît...

http://www.lesnoeuds.com
/htm/image.php5?id=33-4
&name=noeud_coulant
 
Guillemette ne cesse de souhaiter la mort de tout le monde. Et c'est lui qu'on trouve intéressant ici. Et c'est moi qu'on appelle irrespectueux.

Suis-je le seul ici qui a encore toute sa tête?
 
Toute sa tête? Le gars qui lit ça: "Tu connais les noeuds coulants?", l'interprète comme bon lui semble.

Surtout quand il vient de dire ça:

"Anonyme a dit...

Good! on va pouvoir casser du communiste!

A vos matraques camarades policiers!

Better dead than red!".

-Il avait sa tête lui aussi, comme toi!
 
Opportuniste dans le sens qu'au lieu d'aller au fond de l'histoire et de réfuter comme quoi il y a eu des graffitis, tu te contentes de dire que le PCQ n'en a pas fait. Bref, tu essaies de dissocier ton organisation en montrant que celle-ci serait plus civilisée en ne commetant pas d'acte qui n'ont pas été commis point. De plus, ce n'était en rien de l'opportunisme de MA part, puisque je n'ai pas pluggé mon organisation.

Mao nationaliste? À une certaine époque oui et c'était totalement justifié considérant la conjoncture de la Chine comme pays dominé par l'impérialisme britannique et Japonais. Totalement à l'opposé de la position qu'occupe ta belle province du Québec (c'est-à-dire du côté des impérialistes). Ensuite, une fois la Chine libérée, le mot d'ordre lancé était celui de l'internationalisme en lien avec la théorie des trois mondes. J'espère que tu vas me parler du Tibet.

Et votre fixation sur "donne-toi un nom" est ridiculement policière. Ce sont les propos qui importent, et non celle ou celui qui les porte. Sans compter l'absurdité dans le fait que d'un côté vous dénoncez les abus policiers et la répression politique, mais dénoncez aussi les gens qui portent des masques pour se cacher de la police. (À noter que je suis conscient que l'opinion de Sylvain Guillemette sur le port de masque n'est pas celle de RW considérant les billets précédemment publiés sur RW suggérant de se masquer durant les manifestations.)
 
La théorie des trois mondes était franchement une connerie. S'allier avec l'impérialisme américain, jamais dans 100 ans camarade !
 
Ou s'allier avec des régimes réactionnaires comme celui du Shah d'Iran ou celui de Pinochet ou encore Richard Nixon, qui sont des anti-communistes primaires pour combattre l'URSS révisionniste ?
 
moi je ne me masque pas a des manif sauf quand ils sortent leur lacrimo pourquoi se cacher des policier? tu a peur? le PCR n'arrete pas de nous ``bitcher`` sur leur site internationalisme mon Q dire que son parti et est le SEUL VRAI parti communiste n'est pas internationalisme. vous n'arrêter pas de nous dire que nous somme des merde parce que nous appuyons Québec solidaire il participé au système politique bourgeois tralala! Hugo Chavez sa te dit quelque chose?

zach
 
9 septembre 1976 : la mort de Mao Tsé-toung
Article tiré de Lutte Ouvrière n°1729 du 7 septembre 2001
Il y a 25 ans, le 9 septembre 1976 - la mort de Mao Tsé-toung : un nationaliste pas un communiste

Il y a 25 ans mourait Mao Tsé-toung. La presse ne manque pas une occasion de rappeler les épisodes sanglants de son régime, et surtout de les attribuer au communisme dont Mao disait se réclamer. Et en effet, la Chine maoïste a bien souvent servi, avec l'URSS stalinienne dont elle avait copié certains traits, de repoussoir anticommuniste. A en croire nombre de journalistes, ce pays n'aurait été pendant des dizaines d'années qu'un vaste goulag asiatique, dont se seraient peu à peu affranchis les successeurs de Mao en renouant avec l'Occident et l'économie de marché. Un scénario intéressé, maintes fois rabâché, qui a peu à voir avec la réalité.

Un régime avant tout nationaliste

Lorsque Mao et ses compagnons d'armes prirent le pouvoir en 1949, leur objectif se bornait en fait à limiter l'emprise sur leur pays des puissances impérialistes qui en suçaient le sang depuis plus d'un siècle. Car pour ce qui est de « l'ouverture à l'Occident », la Chine avait largement donné. Au milieu du XIXe siècle, afin de promouvoir le « libre commerce » de l'opium, les canonnières anglaises et françaises avaient forcé la Chine à se soumettre à la rapacité des grandes puissances, s'arrogeant des enclaves dans ses ports, des concessions « interdites aux chiens et aux Chinois », à partir desquelles elles pillaient tout le pays. Et en fait de démocratie, la population avait vu les soldats occidentaux et japonais prêter main forte à ses oppresseurs chinois à chaque fois qu'elle tentait de relever la tête.

C'est à cette situation que Mao entendait mettre un terme, pour faire du pays un Etat moderne. Cet objectif fut celui de maints autres leaders du Tiers Monde, sous bien des drapeaux. En Chine, il se trouva qu'il fut incarné par un parti et des hommes qui, une vingtaine d'années auparavant, s'étaient formés dans le moule du stalinisme dont ils avaient retenu la phraséologie et, aussi, l'idée que l'intervention de l'Etat pouvait être un moteur puissant du développement économique. Il n'en reste pas moins que lorsque le Parti Communiste Chinois, après de longues années de guérillas infructueuses, prit le pouvoir, porté par l'immense révolte paysanne qui déferla sur la Chine à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ce ne fut pas pour instaurer un régime où les richesses cesseraient d'appartenir à une petite minorité de privilégiés. En 1945, Mao avait déclaré ne pas viser « la bourgeoisie en général, mais l'oppression impérialiste et féodale, (et que) le programme de la révolution n'est pas d'abolir la propriété privée, mais de protéger la propriété privée en général ; cette révolution ouvrira la voie au développement du capitalisme ». Et dès l'installation du nouveau régime, la classe ouvrière fut appelée à « continuer à vaquer à ses occupations » et la paysannerie priée de tempérer ses velléités de réforme agraire. Il s'agissait de ne pas compromettre l'harmonie du « Bloc des quatre classes », bourgeoisie nationale, prolétariat, paysannerie et classes moyennes, sous l'égide duquel se plaçait la direction maoïste.

Une étatisation imposée par le blocus impérialiste

Encore aurait-il fallu que cette bourgeoisie nationale, vis-à-vis de laquelle Mao multipliait les attentions, accepte de jouer le jeu et que l'impérialisme tolère ce régime. Ce ne fut pas le cas. Dès la fin 1950, les USA décrétèrent le blocus économique du pays alors que débutait la guerre de Corée. Dans ce contexte, les bourgeois chinois que Mao aurait voulu convaincre de faire tourner la production dans l'intérêt national, tout en conservant leurs richesses et privilèges, s'y refusèrent. Ils trouvaient plus rentable de continuer leurs trafics habituels, désorganisant l'économie et mettant le pays en danger militaire, et n'envisageaient nullement de renoncer à leur rôle parasitaire. C'est donc par la force des choses, par instinct de survie et non par idéologie, que le régime dut nationaliser les entreprises au milieu des années cinquante.

Malgré ces conditions d'isolement, aggravées ensuite encore par la rupture avec l'URSS, la direction maoïste poursuivait son but, toujours le même : essayer de faire de la Chine un Etat moderne et une grande puissance, alors que, isolée, appauvrie par un siècle de pillage impérialiste, elle n'en avait pas les moyens. C'est donc à l'immense masse paysanne que le régime allait imposer des efforts inouïs pour tenter d'atteindre ses objectifs. Dans les campagnes « collectivisées », les paysans se virent arracher la plus grande partie du fruit de leur travail pour financer l'industrialisation. On leur imposa de s'épuiser dans de grands travaux et même, lors du « Grand Bond en avant », de produire de l'acier dans les villages pour « rattraper l'Angleterre en 15 ans » ! Dans les villes, la classe ouvrière fut soumise à un régime quasi militaire. Régulièrement le pouvoir eut recours à la répression et mobilisa ses cadres pour étouffer toute velléité d'agitation sociale. La « Révolution culturelle », qui débuta en 1969, vit le régime s'appuyer sur l'armée pour mobiliser la jeunesse estudiantine afin de mettre au pas la population urbaine. Cela, dans le cadre d'une reprise en main militaire du pays par l'appareil d'Etat car, la guerre du Vietnam s'étendant alors, le régime semblait craindre d'être à son tour menacé, en tout cas déstabilisé par elle.

Le bilan du maoïsme… et celui du capitalisme en chine

L'étatisme a permis à la Chine, sinon d'échapper au sous-développement, du moins de ne pas laisser libre cours aux prélèvements de l'impérialisme ainsi qu'à ceux de la bourgeoisie locale. Cela lui a évité de s'enfoncer toujours plus dans la pauvreté, comme nombre d'Etats du Tiers Monde devenus indépendants à la même époque. Mais cet étatisme, outil d'une perspective nationaliste qui fut la constante du maoïsme, n'avait rien de communiste, pas plus que la politique et les intérêts qu'il servait. Aussi est-ce le plus naturellement du monde que l'Etat chinois réintégra le marché capitaliste dès que les USA le lui permirent. Cela se fit du vivant même de Mao lorsque, défaits au Vietnam, les Etats-Unis décidèrent de rechercher un nouveau règlement global en Asie, intégrant désormais la Chine. Peu avant la mort de Mao, Nixon vint ainsi lui serrer la main à Pékin. Depuis lors les dirigeants chinois n'ont fait qu'approfondir cette voie, à travers certes maints à-coups et zigzags.

Les capitalistes du monde entier peuvent désormais exploiter les ouvriers chinois dans des « zones franches » créées à cet effet depuis 1979. Certains y trouvent leur compte, ainsi que toute une frange de nouveaux riches chinois. Mais ce n'est bien sûr pas le cas de l'immense majorité de la population.

Tout en pressurant celle-ci pour tenter de faire décoller l'économie, le régime maoïste avait en effet instauré un certain égalitarisme dans la distribution des ressources, au moins celles de première nécessité. En tout cas, cela avait évité à la population de connaître un dénuement aussi effroyable que celui de l'Inde, comparable à bien des égards, mais dont le régime est toujours resté dans le giron de l'impérialisme. Il y avait des privilèges en Chine maoïste, mais ils pesaient infiniment moins sur la population que les prélèvements imposés par l'impérialisme aux pays du Tiers Monde qu'il domine. Et cette différence de situation avait suffi à assurer aux Chinois un sort un peu plus enviable au niveau de la santé, de l'éducation, du logement ou de l'alimentation, que celui des Indiens, par exemple.

De ce point de vue, la réintroduction de la Chine dans le marché mondial, c'est-à-dire dans une économie de plus en plus ouverte au pillage, ne peut que faire resurgir les tares du passé. Dans les villes et les campagnes, cela a déjà fortement accru des différenciations sociales, annonciatrices à terme d'une profonde régression sociale.

Le temps écoulé depuis que la Chine a renoué avec le marché mondial est maintenant comparable à celui pendant lequel elle en avait été écartée. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'impérialisme, avec ses immenses moyens, n'a pas fait mieux que le régime maoïste pour ce qui est d'améliorer le sort de la population.

Alors, si l'histoire de la Chine depuis 1949 entraîne une condamnation, ce n'est pas celle du communisme, que le régime nationaliste fondé par Mao n'a jamais représenté. C'est celle du capitalisme sous toutes ses formes.

par Daniel MESCLA


zach
 
Camarade Antho, tu t'empresses bien rapidement de qualifier la théorie des trois mondes comme étant de la merde... La théorie ne préconise pas l'alliance avec les pays impérialistes; c'est la récupération par Deng Xiaoping de la théorie qui a amené à des partenariats avec des régimes réactionnaires. Mais en soit la théorie des trois mondes c'est considérer qu'il existe les pays impérialistes, leurs alliés, et les pays dominés par l'impérialisme. Et que la dernière catégorie devait s'unir contre les deux premières. Et l'aspect intéressant de cette dernière c'est que Mao considérait l'URSS comme faisant partie de la première catégorie.

Quant au nationalisme, le PCR n'est pas le PCC et vous connaissez la position du PCR quant à votre nationalisme. Alors je ne vois pas l'utilité de débattre sur "est-ce qu'il existait une forme de nationalisme (la réponse étant oui) au sein du PCC et pourquoi c'est mal". Encore moins en se basant sur un texte écrit par une organisation trotskyste qui ne dévoile même pas ses sources. Et encore moins avec des nationalistes québécois qui se disent communistes.

De plus, attribuer toutes les décisions du PCC à Mao c'est bien mal connaître les structures et la dynamique qui régnait au sein de cette organisation. Pas que je vois concrètement l'intérêt de défendre le personnage de Mao, ce qui m'importe c'est l'apport théorique qu'il a apporté et qui nous est utile.

Et encore pour Zach, tu devrais faire mieux que de te contenter de dire "le PCR rit de nous, le PCR dit qu'on participe au cirque électoral bourgeois tralala" . En général, les critiques du PCR sont mieux formulées et argumentées (et là je ne fais pas référence aux conversations de couloirs que tu aurait pu avoir avec des soi-disant membres du PCR, mais aux textes émis par le PCR en tant qu'organisation) que celà. Donc amène la ta critique, ta réfutation, on l'attend avec joie. Entre temps, essaie de gagner un peu de maturité.

Oui je connais Chavez, et à ce que je sache, au delà des critiques apportées au régime de Chavez, le PCR collabore tout de même avec la Société bolivarienne du Québec...

Et oui j'ai "peur" des policiers. Ai-je besoin de me justifier? Le port du masque lors des manifs est à la discrétion de chacunEs, et non une directive du PCR. Faut croire qu'à vous entendre il n'y a que le PCR qui se masque durant les manifs.

Bref, à ce stade-ci, manquerait plus qu'un réac ou deux vienne dire "Haha les communistes sont stupides ils se bashent entre eux". Par contre, dans les faits, je doute que tout celà empêchera quelques camarades du PCQ de se joindre à notre manifestation demain à St-Jérôme.
 
" Anonyme a dit...

Opportuniste dans le sens qu'au lieu d'aller au fond de l'histoire et de réfuter comme quoi il y a eu des graffitis, tu te contentes de dire que le PCQ n'en a pas fait. Bref, tu essaies de dissocier ton organisation en montrant que celle-ci serait plus civilisée en ne commetant pas d'acte qui n'ont pas été commis point. De plus, ce n'était en rien de l'opportunisme de MA part, puisque je n'ai pas pluggé mon organisation."

-Quand les Saint-Pierre de ce monde viennent affirmer que tous les rouges font des graf", ça me dégoûte et je défends mon parti, tout à fait normal de vouloir démontrer à ce chimpanzé parlant pro-terrorisme que les rouges ne sont pas tous des masqués, des vandales et bien autre chose!

"Et votre fixation sur "donne-toi un nom" est ridiculement policière."

-Absolument pas, t'es en 2007 mon cher et tu n'as plus besoin de te cacher, c'est pratiquement de la contre-révolution. Les caméras ne vous montrent que vous, les masqués. Jamais le message ne passe, ils montrent vos beaux masques rouges de Mao...
Si tu as de quoi à cacher, continues comme ça, mais si tu veux réveiller les aliénés, enlèves-le, car tu les fais fuir!

"Ce sont les propos qui importent, et non celle ou celui qui les porte."

-C'est exactement ce que je dis, les propos ne portent pas plus loin que là où se rend ta voix ou tes écrits. Pour les médias, ils préfèrent de loin montrer un manifestant avec un roche dans les mains que celui qui porte un message révélateur! Tu te plantes!

"Sans compter l'absurdité dans le fait que d'un côté vous dénoncez les abus policiers et la répression politique, mais dénoncez aussi les gens qui portent des masques pour se cacher de la police."

-Justement non. T'es en 2007 et la GRC ne s'intéresse qu'à vius les masqués et pourtant, je crache autant sinon plus que toi sur la bourgeoisie et je leur fais du tort. Si t'as un message à porter, il y a des chances que le peuple t'écoute plus quand tu enlèveras ton masque! Les médias se font un plaisir de vous montrer à la tv et la propagande du Canal-D, fait le reste!

"Quant au nationalisme, le PCR n'est pas le PCC et vous connaissez la position du PCR quant à votre nationalisme."

-Nous sommes indépendantistes, pas nationalistes. Cesses de mentir pour te faire du capital, nous n'avons pas de ceinture fléchée dans notre parti. Les deux termes n'ont pas grand chose en commun!


"Oui je connais Chavez, et à ce que je sache, au delà des critiques apportées au régime de Chavez, le PCR collabore tout de même avec la Société bolivarienne du Québec..."


-Ce qui est une contradiction!
 
Oui, oui, à tantôt! Je pars drète là!
 
ma maturité va très bien merci toi travail ton esprit critique un peux !
 
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