jeudi 12 juillet 2007

 

Montebello: Mobilisation contre le PSP

Comme nous l'avons mentionné il y a environ un mois, le sommet du Partenariat nord-américain pour la prospérité et la sécurité (PSP) se tiendra au Québec, dans un village touristique nommé Montebello, qui est connu pour son imposant hôtel qui a déjà accueilli le président Reagan dans le passé.

Évidemment, il ne faut pas rester sans réagir, en sachant que Georges W.Bush, Stephen Harper et Felipe Calderon viendront dans la Belle Province pour discuter de leur plan impérialiste pour écraser le prolétariat mondiale. Avec ce qui se passe en Irak, en Afghanistan et le harcèlement continuel de l'Iran, de Cuba et du Vénézuéla, on doit s'opposer à ce sommet et c'est pourquoi nous invitons tous nos lecteurs à venir le 20 août, à 15H00, au Château Montebello (ou aussi près que possible de Montebello) pour venir manifester contre ces terroristes (les vrais !).

Mais n'oubliez pas, la révolution n'est pas un dîner de gala !

Faisons de ce sommet, un nouveau sommet de Québec !
Longue vie au combat de la jeunesse prolétarienne en lutte !


==> Site de la manifestation, pour vous tenir au courant

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Commentaires:
"pour venir manifester contre ces terroristes (les vrais !)."

Je voudrais rire encore une fois, mais j'aurais l'air redondant. C'est tout de même tordant les lubbies des communo-fascistes qui se cachent derrière un écran de fumée vertueux pour appuyer les pires criminels de ce monde.

Ils appuient alors tant de choses qu'ils prétendent seulement combattre, mais on voit alors leurs réelles couleurs.
 
Dominique, tu appuies les pires! Viens pas faire la morale! Elle sera vraiment malvenue et ce, grandement!

Tu veux un autre sondage de la popularité de tes criminels préférés? Tu en sortiras perdant! En plus, quand même 83 millions de fanatiques (les évangélistes aux U.S.A.) voteraient pour ton président préféré, il restera tout de même une majorité globale à le détester et à savoir que c'est un trou de cul! Tu veux défendre les Bush de ce monde? Assûmes ce que tu dis vaguement, fais le clairement, comme Durandal et David...ils sont d'ailleurs discrédités sur ce blog! Supporter des invasions illégales en 2007, c'est risqué! Tout se sait aujourd'hui sur les invasions illégales et les vrais enjeux, comme le complex-militaro-industriel, tu connais? Probablement, mais tu dois nier! Tes merdes, on les veut pas ici!
 
Avec ton intervention sur le dernier billet (interventions américaines), ça en dit long sur tes conaissances et tes ambitions. Pour ce qui est de la partisanerie, tu ne laisses pas ta place!
 
Dominique Dumas, ton appuie aux soldats militaires canadiens EST un appuie aux criminels qui tuent des civils ET Talibans (ces derniers étanet des salauds à mon humble avis).
 
"Dominique Dumas, ton appuie aux soldats militaires canadiens EST un appuie aux criminels qui tuent des civils ET Talibans (ces derniers étanet des salauds à mon humble avis)."

J'aime ce genre de phrase vide totalement déconnectée. Et toujours les pseudos détachements de ceux qu'il appuie tacitement.
 
Führer, sa phrase dit tout...ces soldats sont en ce moment dans ce qu'on appellera dans l'histoire, une guerre sale! Pillage de ressources, imposition d'une marionette (Karzaï) par la force (coallition-O.T.A.N.), imposition du système avantageux pour la minoritaire et parasitaire bourgeoisie (privatisation des ressources naturelles-les seuls qui ont de l'argent sont les étrangers et les seigneurs de guerre!) et la diabolisation d'une organisation(Al-Qeada) pourtant crée de toute pièce par les éléments de la C.I.A.. Je diabolise aussi les actes barbares de cette organisation, mais je dénonce sa création dont l'origine remonte jusqu'à Washington, probablement comme pour les ADM de l'Irak, ça devait être inscrit dessus "made in USA", voilà pourquoi ils disent ne rien avoir trouvé! En 1982, Washington arma l'Irak en guerre avec l'Iran, l'année d'après, ton pays criminel (U.S.A.) armait l'Iran!

Tiens Führer, je te donne de la lecture, mais tu ne la liras pas, c'est inscrit Voltaire! Peu importe, ils rapportent des faits et quand ils questionnent la maison blanche, elle ne nie pas...





Alors que ali le chimique est jugé coupable et en court la peine de mort, la vérité doit sortir avant sa pendaison, afin que tous les coupables soient pendus!

Huit légendes médiatiques sur l’Irak
par Jack Naffair

L’administration Bush a requis les services de cabinets de relations publiques (Hill & Knowlton’s, Rendon Group, etc.) pour répandre diverses allégations à propos de l’Irak et les répéter sans relâche dans la presse. Compte tenu de la multiplicité des canaux de diffusion utilisés et par la seule force de la répétition, ces assertions parviennent au statut d’évidences communément acceptées. C’est ainsi qu’on les retrouve au fil des articles d’actualité ou sur les plateaux de débats télévisés sans qu’aucun journaliste ne prenne plus la peine d’en vérifier l’authenticité. Les plus populaires de ces mythes sont réunis ici.

« En 1991 l’Irak a massacré des Chiites qui s’étaient soulevés contre le régime. Selon les estimations du gouvernement états-unien, de 30 000 à 60 000 Chiites ont été tués. »

Les opposants au régime irakien ont mené une offensive contre le pouvoir en 1991, après la campagne de bombardements de la coalition internationale. Mais, comme en témoigne, entre autres, Jawad Bashara, un proche du Parti communiste irakien et membre du Forum irakien qui réunit des opposants à Saddam Hussein installés à Paris : « En 1991, le soulèvement populaire avait libéré quatorze grandes villes et la moitié de Bagdad, mais les Américains ne voulaient pas d’un pouvoir alternatif dominé par les Chiites, sous prétexte qu’ils pourraient faire une alliance avec l’Iran. Ils ont desserré le blocus autour de la garde républicaine et lui ont permis d’utiliser les armes de destruction massive, les missiles sol-sol, l’aviation, tout ce qui était interdit par les accords de cessez-le-feu, pour réprimer le soulèvement dans le sang. » [1].
La réalité est plus complexe que la propagande. La politique des Etats-Unis dans cette région est dominée, depuis la révolution khomeyniste, par la volonté d’affaiblir les mouvements chiites en général et l’Iran en particulier. C’est pourquoi, les Etats-Unis ont financé et armé le régime de Saddam Hussein pour qu’il attaque l’Iran. puis, après la guerre du Golfe, ils ont continué à instrumentaliser le régime de Saddam Hussein, cette fois pour réprimer les mouvements chiites irakiens.

- Objectif : faire de Saddam Hussein un nouveau Staline en lui attribuant la responsabilité exclusive d’une répression de masse.
« Saddam Hussein a gazé plus de 5 000 Kurdes à Halabja en 1988 »

Les seules informations dont nous sommes sûrs est qu’une bataille entre l’Iran et l’Irak a eu lieu dans la zone d’Halabja, que les deux camps ont utilisé des gaz de combat interdits et que des civils kurdes, pris entre deux feux, ont été tués par ces gaz.
Le massacre d’Halabja n’avait pas soulevé de protestation de la communauté internationale, en mars 1988. À l’époque, il était admis que les civils avaient été tués « collatéralement » à la suite d’une erreur de maniement des gaz de combat. Deux ans plus tard, lorsque la guerre Irak-Iran prit fin et que les Occidentaux cessèrent de soutenir Saddam Hussein, le massacre d’Halabja fut attribué aux Irakiens. Un rapport classifié de l’Army War College démontra, en 1990, que cette imputation était peu crédible. Le Washington Post du 4 mai 1990 le résuma en ces termes : « L’affirmation iranienne du 20 mars [1990] selon laquelle la plupart des victimes d’Halabja a été empoisonnée par du cyanide a été considérée comme un élément clé [...]. Nous savons que l’Irak n’utilise pas de gaz cyanide. Nous avons une très bonne connaissance des agents chimiques que les Irakiens produisent et utilisent, et nous savons ce que chacun ne fait pas. »
Récemment, Stephen C. Pelletiere, un analyste politique pour l’Irak à la CIA pendant la guerre Iran-Irak puis professeur à l’Army War College qui participa à la rédaction du rapport, rappela dans le New York Times que le massacre d’Halabja était un crime de guerre, probablement commis par l’armée iranienne, et non un crime contre l’humanité commis par l’armée irakienne. Et, qu’en aucun cas, il ne s’est agit de l’assassinat délibéré de populations civiles (voir le résumé de la tribune libre de Stephen C. Pelletiere dans Tribunes libres internationales).

- Objectif : faire de Saddam Hussein un nouvel Hitler en lui imputant des crimes contre l’humanité.
« Bagdad prétend qu’en douze ans l’embargo a causé la mort de centaines de milliers d’enfants et de personnes âgées alors qu’elles ont été victimes du régime de Saddam Hussein. »

Les sujets de presse sur les sanctions infligées à l’Irak commencent souvent par « Saddam prétend que... ». En fait, il existe, en la matière, des rapports précis provenant d’organisme internationaux reconnus.
Dès mars 1996, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) publiait un rapport alarmant sur dégradation de la situation sanitaire en Irak (Rapport - Synthèse). L’OMS attribuait directement aux sanctions l’augmentation de 600 % de la mortalité juvéno-infantile depuis 1990.
L’OMS impute également à l’embargo le développement et la réapparition de maladies infantiles qui étaient en voie de disparition. L’Unicef a publié un rapport en août 1999 montrant que les sanctions contre l’Irak ont contribué à la mort de 500 000 enfants.

- Objectif : masquer la responsabilité des États-Unis et du Royaume-Uni dans le maintien de l’embargo et occulter que ce maintien est un crime contre l’humanité.
En une occasion cependant, la responsabilité états-unienne avait été reconnue et assumée. On se souvient, en effet, que le 12 mai 1996, Madeleine Albright, alors secrétaire d’État, avait été interrogée sur les conséquences des sanctions par la journaliste Leslie Stahl qui lui demandait :
« Nous avons entendu qu’un demi-million d’enfants [en] sont morts. C’est supérieur au nombre d’enfants tués à Hiroshima. Est-ce que cela en valait vraiment la peine ? »
Mme Albright avait répondu : « Je pense que c’est un choix très difficile, mais nous pensons que cela en vaut la peine » [2].
« Mauvaise foi de Saddam Hussein : il prétend qu’en 1998, les inspecteurs de l’ONU étaient des espions. »

C’est aussi ce qu’affirmait le New York Times à la « Une », le 7 janvier 1999 : « Des officiels états-uniens ont déclaré aujourd’hui que des espions américains ont travaillé secrètement dans les équipes d’inspecteurs des Nations Unies. » [3]
Le 6 janvier 1999, le Boston Globe rapportait, quant à lui, que des agents secrets états-uniens « ont mené une ambitieuse opération d’espionnage conçue pour pénétrer les services de renseignement irakiens et suivre les mouvements du leader irakien Saddam Hussein, selon des sources des États-Unis et de l’ONU ». [4]
Le Washington Post du 2 mars suivant a indiqué en première page que les États-Unis « ont infiltré des agents et du matériel d’espionnage pendant trois ans au sein des équipes d’inspection en armement de l’ONU en Irak afin de surveiller l’armée irakienne, à l’insu des Nations Unies. » [5]
L’information fut mise en doute, mais lorsque la presse demanda un démenti officiel, « les porte-parole de la CIA, du Pentagone, de la Maison Blanche et du Département d’État ont refusé de démentir catégoriquement » (Washington Post du 2 mars 1999). [6]
En septembre 1991 déjà, l’ONU avait adressé une « réprimande publique » à David Kay, un inspecteur états-unien de la commission spéciale de désarmement en Irak, accusé de fournir des informations directement à Washington avant l’ONU [7]

- Objectif : faire croire que l’Irak n’a jamais véritablement accepté les inspections.
« Les inspecteurs de l’ONU ont été expulsés par l’Irak, en 1998. »

Informé d’une campagne de bombardement imminente, Richard Butler, le chef des inspections de l’époque, a décidé de retirer son personnel (Opération « Renard du désert » lancée le 16 décembre, 415 missiles de croisière tirés, 600 bombardements).
Relatant ce retour, le Washington Post du 18 décembre 1998 écrit : « Butler a ordonné à ses inspecteurs d’évacuer Bagdad, anticipant une attaque militaire, mardi soir » [8]. Confirmant qu’il s’agit bien d’un départ volontaire et non d’une expulsion, USA Today du 17 décembre 1998 rapporte que « l’ambassadeur russe, Sergei Lavrov, a critiqué Butler pour son évacuation des inspecteurs d’Irak, mercredi matin, sans demander l’autorisation au Conseil de sécurité ». [9]

- Objectif : prétendre que Saddam Hussein a volontairement interrompu les inspections pendant plusieurs années pour reconstituer son arsenal à l’abri des regards.
Début 2003, l’Irak dispose de missiles à longue-portée.

Lors d’une rencontre avec Jose Maria Aznar le 22 février 2003, George W. Bush a évoqué les missiles irakiens Al-Samoud 2 comme des missiles à longue-portée. En fait, les missiles incriminés figuraient dans la déclaration de 12 000 pages remise par l’Irak à l’ONU, le 7 décembre 2002. Dans une interview au Monde, Corinne Heraud, une inspectrice française de l’ONU explique qu’en octobre 2002 déjà, Bagdad avait déclaré que certains essais avaient dépassé la limite de 150 km.
Lorsque, à la demande d’Hans Blix, un groupe d’experts a rendu ses conclusions sur les Al-Samoud 2, le 12 février, John Negroponte ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU, a qualifié l’information de « découverte » de « missiles violant les résolutions de l’ONU », suggérant qu’il s’agissait d’une trouvaille inédite. Cette mise en scène, sous forme de scoop, a été reprise par de nombreux médias . Ainsi, la RTBF ou RFI entre autres, présentaient le 12 février comme une révélation « exclusive » ce qui n’était que la confirmation officielle de ce que l’Irak avait déclaré plusieurs mois auparavant.
Selon Associated Press, Hans Blix aurait annoncé en janvier que 40 essais avaient été effectués sur les missiles al-Samoud 2. Treize tirs auraient dépassé les 150 kilomètres autorisés par la résolution 687 et seul un tir aurait atteint 182 kilomètres. Le dépassement des 150 km est dû, selon Tarek Aziz vice-Premier ministre irakien, au fait que ces tests ont été effectués avec des vecteurs non chargés (ils peuvent transporter jusqu’à 300 kg de charge) et non équipés de dispositifs de guidage.
L’ambassadeur irakien auprès de Nations Unies, a déclaré le 12 février que son gouvernement souhaitait qu’une commission vienne vérifier la portée réelle des missiles.

- Objectif : faire croire que l’Irak représente aujourd’hui une menace pour ses voisins.
« L’Irak n’est pas autorisé à survoler les "zones d’exclusion aérienne" recouvrant les 2/3 de son territoire. »

Les zones d’exclusion aérienne qui comprennent les parties de l’Irak situées au nord du 36ème parallèle et au sud du 32ème parallèle ont été imposées par les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, 18 mois après la guerre du Golfe. Depuis, la France est revenue sur sa position et a dénoncé ces zones. Le 3 septembre 1996, les États-Unis ont décidé unilatéralement d’étendre la zone du 32ème au 33ème parallèle.
Au regard du droit international et en vertu de l’article 51 de la Charte des Nations Unies, l’Irak conserve le droit de se défendre sur l’ensemble de son territoire, y compris au dessus des zones déclarées « d’exclusion aériennes » par les États-Unis.

- Objectif : donner une apparence de légitimité aux raids aériens britanno-états-uniens contre les positions défensives irakiennes dans les zones d’exclusion aérienne.
« La guerre permettra de désarmer efficacement l’Irak. »

De 1991 à 1998, la première série d’inspections a permis d’éliminer bien plus d’armes que les six semaines de bombardements. En 1994, l’AIEA se déclarait « convaincue que, par suite des mesures de destruction, d’enlèvement et de neutralisation, qui ont été prises jusqu’ici, il n’est matériellement plus possible à l’Iraq de produire des armes nucléaires ou des matières utilisables dans les armes nucléaires ».
Selon l’États-unien Scott Ritter, ancien inspecteur de l’UNSCOM, « depuis 1998, l’Irak est grosso modo désarmé : de 90 à 95 % de ses capacités en armes de destruction massive ont été éliminées, et ce de façon vérifiable »Interview dans The Guardian.

- Objectif : justifier l’attaque contre l’Irak.

De nombreuses références reprises dans cet article ont été trouvées sur le site du collectif FAIR« Fairness & Accuracy In Reporting »
Jack Naffair



http://www.voltairenet.org/article9234.html
 
Je sais pourquoi ils nient Voltaire, y a trop de chiffres et tout ça mélangé avec l,obligation de lire un peu, ça les fait saigner du nez!

Mais de leur côté, les sources sont sûres, banque mondiale et FMI...
 
... ou l'Institut Économique de Montréal
 
... ou Antagoniste même !
 
Ou les bureaux de la défense américains et israéliens!
 
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